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Des accords secrets existent entre des opérateurs de téléphonie mobile et des préfectures.
Les opérateurs de téléphonie mobile ont des impératifs d'extension du réseau. Mais l'implantation des antennes relais reste sujette à controverse. D'où l'idée de certains opérateurs de les installer sur des bâtiments publics un peu particuliers : les commissariats de police. Certains opérateurs auraient même payé jusqu'à 1.000 euros par mois par antenne.
Plusieurs cas montrent que les policiers n'ont pas été mis au courant du fait d'accords secrets passés entre opérateurs et préfectures à l'encontre de tout principe de précaution.
Des antennes dans la cheminée
Il y a quelques mois, ces pratiques ont été révélées à Nancy. Le syndicat SGP Police FO a découvert queFree projetait d'implanter trois antennes dissimulées dans de fausses cheminées érigées sur le toit-terrasse de l'hôtel de police. Une installation dont n'avaient pas été informés les fonctionnaires qui travaillaient dans les locaux juste en dessous. Au préalable, une convention avait été rédigée mais pas signée entre l'administrateur général des finances publiques de Meurthe-et-Moselle et Free Mobile, selonL'Est Républicain.
Guy Dalier, secrétaire régional d’Unité SGP Police FO, avait fait remonter l'information aux instances nationales et avait publié un article dans le magazine interne de la police fin 2011 pour soulever le problème.
"A l'occasion de la distribution de cette revue syndicale, nous nous sommes aperçus que le problème n'était pas que local, à Nancy mais qu'il avait tendance à se répéter un peu partout sur le territoire national. On a découvert un projet d'implantation massif d'antennes sur une bonne partie des hôtels de police de la région mais aussi de France", affirme Guy Dalier au micro d'Europe
Des commissariats du sud ouest approchés
Le cas nancéien n'est donc pas isolé. Dans le sud ouest, par exemple, plusieurs commissariats ont été approchés par différents opérateurs.Tous ont pour l'instant refusé d'avoir une antenne au dessus de leur tête.
En revanche, à Colmar dans le Haut-Rhin, des policiers affirment avoir surpris des installateurs dans la cour du commissariat. Une information impossible à vérifier dans un dossier où la loi du silence est de mise.
Vous exposeriez-vous 24h sur 24h à l'amiante, au DDT, aux vapeurs de plomb ?Alors pourquoi l'accepteriez-vous de la téléphonie mobile, du Wifi, d'un DECT ? classés dans le Groupe 2B - potentiellement cancérigène - par l'OMS le 31 Mai 2011.
Ce message s’adresse à vous si vous disposez d’une « box » d’accès internet mise à disposition par un opérateur télécom (Free, SFR, Bouygues...)
Le saviez-vous ? Votre « box » est la source de non pas un, mais deux réseaux Wi-fi : le vôtre, et un réseau dit « communautaire », qui a une portée beaucoup plus large puisqu’il « arrose » tout le quartier. Ce réseau en accès libre, sert aux personnes qui souhaitent se connecter « en mobilité » à Internet, c'est-à-dire en passant dans la rue ou en faisant une pause dans le parc. Ils se connectent…en utilisant votre boîte ! Les opérateurs procèdent de cette façon, de longue date, pour le Wi-fi.Mais le trafic va encore s’intensifier puisque pour faire face à la charge du réseau, ils s’apprêtent à utiliser également les box individuelles pour les communications en 3G !
Or, cette fonction est activée par défaut, c'est-à-dire qu’elle a commencé à fonctionner dès que vous avez mis votre box en service, et elle reste activée tant que vous ne l’avez pas éteinte, même si vous avez désactivé votre Wi-fi « maison ».
Il en découle plusieurs conséquences :
– vous servez d’antenne Wi-fi à votre opérateur de télécom, à vos frais, puisque c’est à partir de votre électricité, et en permanence puisque la boîte émet tout le temps ;
– vous prenez double dose de champs électromagnétiques et vous en faites prendre double dose à vos enfants, ainsi qu'à vos voisins, chez qui se trouvent peut-être des personnes fragiles (bébés, personnes âgées ou malades, personnes sensibles aux champs électromagnétiques), qui sont complètement démunies pour localiser l’origine de leurs maux ; Voir à ce sujet : http://www.robindestoits.org/_a1055.html
– vous êtes susceptible d’engager votre responsabilité si votre boîte est utilisée à des fins illégales, ne serait-ce que pour du téléchargement réprimé par la loi HADOPI. Certes, théoriquement, l’utilisateur doit s’identifier, et tout aussi théoriquement, il n’a pas accès à vos propres données de connexion ni à votre disque dur. Mais nous savons tous qu’il existe des logiciels permettant de « surfer » de façon anonyme ; et d’une façon générale, on sait que la créativité des hackers est sans limites.
Et plus généralement, êtes-vous d’accord pour rendre ce service à l’opérateur ? Vous a-t-on mis au courant des modalités et des conséquences ? Vous a-t-on demandé votre avis ? Même sans parler du risque sanitaire il y a là une manipulation du consommateur qui n’est pas acceptable.
Vous pouvez désactiver ce wifi communautaire et cesser de vous exposer à tous ces risques. Pour connaître la marche à suivre, consultez ce document de Robin des Toits, qui explique comment désactiver les Wi-fi : http://www.robindestoits.org/_a227.html Ou demandez à votre opérateur, si votre type de « box » n’est pas répertorié.
L'association de consommateurs UFC-Que Choisir a annoncé mardi avoir saisi le Conseil d'Etat d'un recours pour excès de pouvoir contre la généralisation d'un nouveau type de compteur électrique "communicant" appelé Linky, "afin de permettre un projet respectueux des intérêts des consommateurs".
Actée depuis un arrêté du 4 janvier 2012, cette généralisation avait été annoncée en septembre 2011.
Le déploiement de 35 millions de compteurs d'ici à 2020 représente un investissement de l'ordre de 4,5 milliards d'euros, mais le nouveau compteur doit être gratuit pour le consommateur.
La décision de lancer Linky sur l'ensemble du territoire est intervenue après une expérimentation menée pendant un an sur 300.000 compteurs par ERDF, la filiale de distribution d'électricité d'EDF, dans les régions de Tours (Indre-et-Loire) et de Lyon.
UFC-Que Choisir estime cependant dans un communiqué que "le coût de l'appareil et de son installation est particulièrement élevé", et que son financement reposera in fine sur les consommateurs.
"En l'état, le compteur Linky ne répond pas aux exigences normatives européennes et nationales, et, en conséquence, n'est pas au service des consommateurs pour une meilleure maîtrise de leur consommation énergétique et de leur budget", juge en outre l'association de consommateurs.
Elle estime en particulier que "l'impact (de Linky) sur la maîtrise de la demande énergétique n'a pas été évalué" et que le nouveau compteur ne permet pas aux consommateurs de mieux connaître leur consommation d'énergie en temps réel.
"Bref, ces compteurs sont bel et bien conçus essentiellement dans l'intérêt exclusif du gestionnaire de réseau et des fournisseurs d'énergie,et bien peu dans celui des consommateurs, en dépit des promesses."
Chaque portable vendu dans l'Etat hébreu devra désormais porter un message avertissant des risques de cancer. Etienne Cendrier, porte-parole de l'association "Robin des Toits" voit en Israël "un exemple à suivre" pour la France.
À Olvera, une magnifique ville de la province de Cadix, Le conseiller à l'environnement Jacobo Camarero a confirmé que le conseil municipal a à l'unanimité décidé de déclarer la ville "Municipalité libre de toute pollution électromagnétique"
Avec une majorité de l'union des partis de gauche, mais voté par le parti socialiste espagnol et le parti populaire espagnol, il est important de noter que différentes forces politiques ont été motivées, dans le but d'assurer un environnement sain pour les habitants.
Nous pouvons dire sans crainte de se tromper qu'aucune décision de ce genre ne figure dans les annales d'aucune municipalité, concernant le même type de décision. À Carthagène et Murcia, plusieurs villages appellent également à des mesures similaires, tout comme l'ont fait plusieurs provinces d'espagne, sans pour autant avoir progressé.
Commentant la nouvelle, le conseiller à l'environnement Jacobo Camarero dit : "puisque notre ville est de petite taille, nous avons les problèmes typiques liés à l'implantation de grands nombres de mâts sur les toits. À l'inverse, le paysage urbain est plombé par des tours en bétons affligées d'antennes installées en toute illégalité - et que nous avons l'intention de faire enlever immédiatement."
Et chaque jour ce problème prend de l'ampleur ; la semaine dernière les médias publiaient une brève relative à une ancienne hôtesse de l'air et une agent technique d'une université, toutes deux d'origine française, qui se sont réfugiées dans une cave dans les Alpes pour se protéger de la "souffrance insupportable" que leur infligent les ondes électromagnétiques.
Vous venez de vous abonner à une offre « Triple-play » dégroupée incluant internet, TV, téléphone et à votre grande surprise, vos (vieux) téléphones branchés sur les prises T de votre habitation ne fonctionnent plus ? Il faut dire que perdre des téléphones dans une habitation, c'est handicapant, surtout quand on habite dans une maison avec plusieurs pièces éloignées, voire plusieurs étages...
Que faire pour retrouver ces téléphones ? Doit-on alors renoncer et garder the chosen one, celui qui a fait copain-copain avec la box ?
Lorsque vous posez ces questions dans les magasins, agences téléphoniques ou encore sur les forums, on vous répondra tout de suite d'acheter une base de téléphones sans-fils avec N combinés qui :
- Vous obligent à faire une dépense de plus. - Peuvent facilement tomber en panne. - Émettent des ondes dont de nombreux scientifiques ont mis la toxicité en évidence.
Mais figurez-vous que tout n'est pas perdu (...) et qu'il existe une alternative qui ne coûte quasiment rien... Parce qu'il est en effet possible de faire passer le signal du téléphone par internet dans toutes les prises en T de la maison ! Autrement dit, il est possible de retrouver le téléphone par internet dans toutes ces prises en T, en bricolant un peu !
Pour avoir fait le montage chez moi, je trouve que cela est performant (très bon son, très clair pour les deux correspondants) et fiable bien sûr.
Dans un soucis que tous mes lecteurs puissent avoir accès au dit tutoriel, je l'ai publié sous trois formes : .odt, .doc et .pdf. De plus, étant publié sur dropbox, je pourrai par la suite en fonction des remarques / suggestions les modifier sans que l'URL de téléchargement ne change. Restez donc au courant !
== L'ARRETE EST EN PIECE JOINTE == Le Conseil d'Etat vient de publier un arrêt - rendu lundi 19 juillet - trés important et qui devrait faire couler beaucoup d'encre. La Haute juridiction juge en effet que le principe constitutionnel de précaution est "applicable" (mais pas encore méconnu) aux antennes relais de téléphonie et au droit de l'urbanisme. Rappel des faits. Dans la présente affaire, une association de riverains avait saisi...
N° 1822 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l’Assemblée nationale le 8 juillet 2009. PROPOSITION DE LOI visant à limiter le voltage et encadrer le déploiement des antennes relais, (Renvoyée à la Commission des affaires économiques, à défaut de constitution d’une commission spéciale dans les délais prévus par les articles...
PROPOSITION DE LOI relative à la règlementation de l’implantation des antennes-relais de téléphonie mobile et à la réduction de l’exposition des personnes aux champs électromagnétiques. PRÉSENTÉE PAR M. Jean DESESSARD, Mmes Marie-Christine BLANDIN, Alima BOUMEDIENETHIERY, Dominique VOYNET et M. Jacques MULLER. Sénateurs EXPOSE DES MOTIFS Mesdames, Messieurs, Nous vivons actuellement dans un environnement où...
Grenelle de l'environnement - Antennes-relais : "A l'écoute" de l'inquiétude des Français Lionnel LUCA qui a déposé en février 2008 une proposition de loi sur l'implantation des antennes relais d'utilisation des appareils de téléphonie mobile, dépose aujourd'hui 5 amendements...
Extrait vidéo du XIVè Parlement des enfants, réuni aujourd'hui au Palais Bourbon pour débattre puis voter l'une trois propositions de lois retenues parmi 577. Proposition de loi n°1 : "visant à interdire la vente de téléphones portables simplifiés destinés aux enfants de 4 à 10 ans et à informer le consommateur des risques liés à une utilisation régulière de ces appareils chez les plus jeunes." ...
PRÉSENTÉE PAR MM. Lionnel LUCA, Patrick BEAUDOUIN, Georges COLOMBIER, Jean-Pierre DECOOL, Richard DELL’AGNOLA, Éric DIARD, Mme Pascale GRUNY, M. Jean-Claude GUIBAL, Mme Françoise HOSTALIER, MM. Thierry MARIANI, Alain MOYNE-BRESSAND, Francis SAINT-LÉGER, André SCHNEIDER, Éric...
PRÉSENTÉE PAR Mme Marie-Anne MONTCHAMP, M. Philippe ARMAND MARTIN, Mme Martine AURILLAC, MM. Jean-François CHOSSY, Jean-Yves COUSIN, Jean-Pierre DECOOL, Georges FENECH, Alain FERRY, Mme Marie-Louise FORT, MM. Guy GEOFFROY, Jean-Pierre GIRAN, Mme Arlette GROSSKOST, MM. Jean-Jacques GUILLET, Francis...
SANTÉ ENVIRONNEMENTALE Amendement concernant la téléphonie mobile PRÉSENTÉ PAR RENÉ DUTREY ET LES ÉLUES DU GROUPE LES VERTS La délibération (DF 2005-37) autorisera le maire de Paris à signer trois conventions-cadre relatives à la mise à disposition de...
Législation - Du PCF à l'UMP, des députés proposent un texte de loi commun pour interdire l'utilisation des téléphones mobiles dans les établissements scolaires. Ils prévoient également d’encadrer fermement l'implantation des antennes-relais. Union sacrée au Palais Bourbon. Huit députés du PCF à...
déposée entre autres par Mme Nathalie Kosciusko-Morizet PROPOSITION DE LOI n° 2491 Document à télécharger ci-dessous, au format pdf Auteurs : PAR MM. JEAN-PIERRE BRARD, CHRISTIAN DECOCQ, JOËL GIRAUD, PIERRE GOLDBERG, Mme NATHALIE KOSCIUSKO-MORIZET, MM. MAURICE LEROY, NICOLAS PERRUCHOT et Mme CHANTAL ROBIN-RODRIGO --- Lire également : - 'Santé et mobiles, les députés sur la même longueur d'onde' - 01Net -...
Proposition déposée par Michel Bouvard, Député PROPOSITION DE LOI relative à l'implantation des antennes relais de radiotéléphonie mobile. (Renvoyée à la commission des affaires économiques, de l'environnement et du territoire, à défaut de constitution d'une commission ...
N° 302 SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2000-2001 Annexe au procès-verbal de la séance du 3 mai 2001 PROPOSITION DE LOI relative à la protection des populations résidant à proximité des stations ...
Auteurs : McCarty DE , Carrubba S , Chesson AL , Frilot C , Gonzalez-Toledo E , AA-Marino . Department of Neurology, LSU Health Sciences Center, Shreveport, Louisiane, USA.
Objectif : Nous avons cherché des preuves directes que la résistance à l'exposition aiguë à un environnement de champs électromagnétiques pourrait induire des réactions somatiques par rapport à l’hyper sensibilité aux CEM.
Méthode : Le sujet, une femme médecin auto-diagnostiquée avec une hyper sensibilité aux CEM, a été exposée à un champ électrique en moyenne de 300 V/m de 60 Hz (comparable à l'environnement typique d’une résistance aux CEM) lors de l’étude scientifique de provocation contrôlée et de l’étude comportementale.
Résultats : Dans une procédure de provocation de CEM en double aveugle et spécialement conçue pour minimiser involontairement les signaux sensoriels, le sujet a développé des douleurs temporelles, des céphalées, des spasmes de contractions musculaires, et a eu une forte augmentation de son rythme cardiaque à plus de 100 après le début de l'exposition aux CEM (P Les symptômes ont été causés principalement lors des transitions physiques (off-on et on-off) plutôt que la présence du champ électromagnétique, comme évalué en comparant la fréquence et la gravité des effets des champs EM pulsés et continus par rapport à une exposition fictive. Le sujet n'avait aucune perception consciente du champ à en juger par son incapacité à signaler sa présence le plus souvent que dans le contrôle simulé.
Discussion : Le sujet a démontré statistiquement la fiabilité de ses réactions somatiques en réponse à l'exposition aux CEM subliminaux dans des conditions qui raisonnablement excluent un rôle causal des processus psychologiques.
Conclusion : L'hyper sensibilité aux CEM peut se produire dans un authentique environnement de champs électromagnétiques et induire un syndrome neurologique.
PARIS - Leila Aïchi, sénatrice EELV, et Etienne Cendrier, de l'association Robin des Toits, affirment que des conflits d'intérêt différés toucheraient le Conseil d'Etat, du fait de liens de certains membres actuels ou en détachement avec des opérateurs de téléphonie mobile. En septembre, le rapporteur du Conseil d'Etat, Xavier de Lesquen, avait estimé qu'en matière d'implantation d'antennes-relais, les décisions du maire ne peuvent se substituer à celles du ministère chargé des communications numériques et de l'Agence nationale des fréquences.
Le Conseil d'Etat avait suivi ces recommandations, à la satisfaction du ministre de l'Industrie Eric Besson pour qui elles permettent de poursuivre les déploiements des services mobiles.
Saisie, la Cour de Cassation s'était déclarée incompétente et s'était dessaisie au profit du Tribunal des Conflits, composé de magistrats pour moitié du Conseil d'Etat et pour moitié de la Cour de cassation. Il doit siéger sur le sujet le 14 mai.
Mme Aïchi et Robin des Toits ont émis des doutes sur l'impartialité en ce domaine du Conseil d'Etat, relevant plusieurs conflits d'intérêt différés.
Ainsi Xavier de Lesquen est l'ancien directeur du défi Bouygues Télécom transiciel, qui a participé en 2000 à la Coupe de l'America avec un bateau largement financé par Bouygues. Cet antécédent est susceptible d'encourager une obligeance à l'égard de l'opérateur, estiment-ils.
Ils notent aussi que deux maîtres des requêtes ont été détachés l'un en qualité de secrétaire général de SFR, l'autre comme secrétaire général de Bouygues Telecom, des activités, relève Leila Aïchi, qui ne présentent a priori aucun lien direct avec leur compétence et suscitent un doute légitime.
Même en détachement, ils gardent des liens avec leurs amis du Conseil d'Etat, a assuré Richard Forget, avocat de Robin des Toits.
Pour lui, vu la composition du Tribunal des Conflits, il risque de dire que la compétence est administrative, et il ne pourra plus y avoir de contentieux autour des antennes relais. Aucun riverain ne pourra plus demander le démontage d'une antenne ou le versement de dommages et intérêts, les maires ne pourront plus exiger une fréquence des antennes plus basse ou définir des zones d'exclusion.
Le sujet est certes d'actualité, mais à notre connaissance, la Communauté de communes (CdC) Albères Côte-Vermeille est la seule à mettre en place une véritable stratégie fédératrice, concernant l'éventuelle nocivité des ondes électromagnétiques et les conséquences qui peuvent en découler. C'est ainsi qu'il y a quelques jours, s'est déroulée en mairie d'Argelès, une seconde rencontre mettant en présence les élus des douze communes du territoire et les associations impliquées dans cette cause, telles que Robin des toits 66, l'ADREP de Saint-Genis et l'ADSE de Montesquieu.
L'occasion de faire le point comme l'a expliqué le président Pierre Aylagas : "Certes ce n'est pas dans notre domaine de compétences, mais on ne peut pas occulter le sujet. Aussi à la Communauté de communes nous voulons informer chaque maire sur l'éventuelle nocivité d'un site. Ce sera ensuite à lui, avec son conseil municipal de prendre les décisions qu'il juge nécessaires".
Mutualiser l'étude Et là est bien tout l'intérêt de cette collaboration, car c'est bien connu l'union fait la force dans ce domaine. Ainsi, un bureau d'études (dont le nom sera dévoilé à l'issue du délai légal d'ici la fin du mois) a été choisi. Et la décision n'a pas été simple, puisqu'il "fallait éviter au maximum les complicités avec les opérateurs pour être objectif et efficace". D'autant, qu'un cahier des charges extrêmement précis a été élaboré par les commanditaires portant par exemple sur les créneaux horaires, les jours fériés, les différentes amplitudes.... Toujours est-il que cette décision satisfait les associations, qui en appellent toujours à la vigilance et à "l'intervalle de confiance" concernant les émissions électromagnétiques de ces ondes qui selon elles "auraient des conséquences dramatiques sur notre santé et notre vie quotidienne".
Donc dans un premier temps, ce bureau spécialisé va effectuer les mesures des champs magnétiques et selon ses conclusions, il se pourrait que l'on assiste à un redéploiement des sites analysés.
Six sites contrôlés Rappelons que six lieux sensibles ont été "sélectionnés" à : Argelès (collège des Albères et la rue Jean-Moulin), à Collioure (sur la route de Port-Vendres), à Port-Vendres (la tour Madeloc), à Saint-André (antenne sur la route de Sorède) et à Saint-Genis (dans la rue Jean-Jaurès).
Le territoire recense un total de quarante sites émettant des ondes électromagnétiques pour un total de soixante-quinze antennes émettrices.
Une première donc dans le département, qui pourrait bien servir d'exemple.
L'ARGENT VENANT A MANQUERLES HOSPICES CIVIL DE LYON LOUE LEURS TOITS AUX OPERATEURS::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::
DES COMMUNES REFUSENT LA DÉCISION DU CONSEIL D'ETAT Nous avons prévu un effet boule neige qui prend forme 850 communes en France veulent 0.6 V/m et autorité pour Réguler l'implantation des antennes relais, bravo et mille merci à vous les MairesTéléphonie mobile dans le collimateur
Stop ! Les antennes relais de téléphonie mobile n'ont plus droit de cité dans les espaces publics de Carcassonne. « La ville refusera toutes les demandes d'installation sur ses bâtiments, y compris le stade », a indiqué hier Michel Cornuet. Pour le moment, c'est le seul biais car en octobre dernier, le Conseil d'État a retoqué les arrêtés de trois communes tentant de réglementer les installations. Donc, à défaut de pouvoir réguler, le conseil municipal a adopté à l'unanimité une motion adressée au gouvernement. Le conseil demande « une révision de la réglementation nationale, fixant la valeur limite d'exposition aux ondes à 0,6 volt par mètre » et d'accorder aux maires un pouvoir réel de régulation.Aujourd'hui en France, la limitation est fixée à 61 V/m. « Réglementation insuffisante », jugent les élus carcassonnais au regard d'autres pays européens qui ont baissé le niveau à 3 V/m. « L'Autriche a même été plus loin en fixant cette limite à 0,6 V/m, valeur reconnue comme le meilleur compromis entre la préoccupation de la santé publique et celle du fonctionnement du service de téléphonie mobile », pointe la motion.
Il existerait des éléments de preuves suggérant l’utilisation d’armes électromagnétiques dans la mort subite de choucas, d’après un lecteur de blog de Suède
:::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::::Bonjour,je vous propose un site de vente de téléphones sans-fil analogiques :http://www.sans-fil-analogique.com/Ce sont les téléphones que nous utilisions il y a 10 ans environ.Ils ont été testés par un des mesureurs de Robin des Toits et ils sont clean, c'est à dire sans champs électromagnétiques toxique : pas de micro-ondes, pas de basses fréquences et aucune pulse. Il s'agit d'un signal continu ANALOGIQUE (et non numérique !) C'est justement toute la différence..., comme la FM (sauf que l'intensité est plus élevée qu'un eréception de France Inter mais ne dure pas 24h/24). On conseille donc de garder un filaire pour les conversations longues mais on recommande ce produit.De plus, l'alim est clean aussi (elle ne "crache" pas contrairement à beaucoup d'appareils de nos jours).En tant qu'électrosensible, j'en utilise sans problème (mais ceux sans écran, dans ce cas rajouter un mouchard parce qu'il y a quelques impulsions numériques sur ceux avec écran, c'est suppotable mais pas aussi bien).Jetez vos DECT qui vous intoxiquent ! Et soyez vintage !Bruno/////////////////////////////////////////////////////////////http://www.universfreebox.com/article15822.html
Publié le 28 décembre 2011 - Source : Tom's Hardware
Les conclusions finales de l'expérimentation effectuée à Laval sur le brouillage de la TNT par les réseaux de téléphonie 4G sont alarmantes. Elles font état d'un nombre de perturbations « plus important que prévu » sur tous les canaux TNT et donc potentiellement « sur tout le territoire national ».
Ces perturbations sont le fait de la trop grande proximité entre les fréquences de la TNT et celle de la 4G (dans la bande des 800 MHz) et ne sont pas faciles à éliminer totalement. Le rapport souligne que malgré « l'importance des moyens mis en oeuvre (trois équipes d'intervention avec une cinquantaine de filtres et de réjecteurs), il n'a pas été possible d'allumer les huit sites LTE simultanément, ni de venir à bout des interférences générées » pendant l'expérimentation. Les opérateurs devront donc procéder à des ajustements au cas par cas chez les particuliers, coûteux en main d'oeuvre et à l'efficacité non garantie à 100 %.
Le rapport contient enfin une dernière surprise : « Chacun des blocs LTE perturbe à un niveau comparable la réception de la TNT ». Autrement dit, Bouygues Télécom qui a obtenu le bloc de fréquences le plus proche de la TNT pour un prix nettement inférieur à celui déboursé par Orange ou SFR pour les autres blocs ne serait pas plus menacé par les interférences. L'opérateur aurait ainsi fait une jolie affaire.
4G : Une étude montre que le brouillage de la TNT sera plus important
Compteur LINKY, attaqué au Conseil d’Etat par Robin des Toits
L’association nationale Robin des Toits a déposé au Conseil d'Etat un recours contre la décision du ministre de l'énergie annoncée dans son intervention du 28 septembre 2011 de généralisation du compteur "intelligent" dit "Linky".
Robin des Toits soulève quatre défauts majeurs dans cette décision :
- le manquement total au Principe de Précaution avec l'absence d'étude d'impact des conséquences en termes d'exposition de la population aux champs électromagnétiques, récemment classés cancérogènes possibles par l'OMS, absence d'étude de l'impact sanitaire, absence de prise en considération des technologies alternatives ;
- la violation de la loi relative à l'informatique et aux libertés (loi du 6 janvier 1978) avec une collecte et un traitement de données présentant un caractère excessif, eu égard à l'atteinte à la vie privée, par rapport à la finalité recherchée ;
- la violation du code des marchés publics, l'élaboration et le choix du prototype, qui va représenter une plus-value considérable pour le concepteur, n'ayant fait l'objet d'aucun appel d'offres ni de mise en concurrence ;
- la violation du droit de propriété des collectivités territoriales et du principe de libre administration, les collectivités étant, dans l'opération, dépossédées des compteurs qui étaient leur propriété ; en outre, une loi était nécessaire pour opérer un tel transfert de propriété.
Le cumul d’infractions et d’illégalités énumérées ci-dessus fonde la légitimité de toute personne à s’opposer à l’installation de ce type de compteur en s’appuyant notamment sur la récente décision du Conseil d’Etat qui rappelle que toute décision publique est soumise au Principe de Précaution. Or, la violation du Principe de Précaution est manifeste dans le cas de ce type de compteur (électricité, eau et gaz).
Maintenant que le délai est interrompu par son recours déposé, l’association nationale Robin des Toits invite les élu(e)s et Collectivités locales à s’associer à elle dans cette action, et les autres associations et groupements opposés à Linky à intervenir dans le litige afin de présenter leurs propres arguments et augmenter ainsi les chances d'obtenir l'annulation de cette décision qui pêche sur tant de points.
Contact presse: Etienne CENDRIER
/////////////////////////////////////////////////////////////Enquête de L'ASEF à Aix en Provence
Le principe de précaution et le droit à un environnement sain, particulièrement en faveur des enfants et des générations futures, doivent être des facteurs-clé de tout développement économique, technologique et social de la société.
DE SUITE A 0.6 V/m PUIS 0.2 V/m
« Après avoir analysé les études scientifiques disponibles à ce jour, et suivi les débats d'experts organisés dans le cadre de la commission de l'environnement, de l'agriculture et des questions territoriales, il y a des preuves suffisantes d'effets potentiellement nocifs des champs électromagnétiques sur la faune, la flore et la santé humaine, pour réagir et se prémunir contre de graves dangers sur l'environnement et la santé.
On s'apperçoit que FREE emploi les mêmes méthodes de voyous que les autres opérateurs
DU PAS ENCORE VUE voilà pourquoi c'est une méthode de voyou
Un même immeuble coupé en deux d'un côté plusieurs propriétaires de l'autre un seul (une dame âgée de 90 ans), Free bien sûr à sollicité cette dame !! mais le problème est que le toit appartient à la partie commune donc c'est tous qui auraient dus en assemblée donner leurs accord ou non la Régie QUADRAL n'autorisera pas le raccordement électrique. Deviné quand l'autorisation et l'affichage a été fait PENDANT LES VACANCES
Bien caché au cas ou les aveugles voient le panneau !
PARIS ET LYON DECLARE LA GUERRE AUX OPERATEURS
La mairie de Paris a décidé de suspendre "immédiatement" toutes les nouvelles implantations d'antennes relais sur les toits et bâtiments municipaux, après la rupture de la charte parisienne de téléphonie mobile due, selon elle, à des "exigences inacceptables" des opérateurs.
La Mairie de Paris menace d'obliger les opérateurs à démonter leur matériel. Le sujet va animer le Conseil de Paris dès ce lundi.
le résultat de ces "réformes" sera de rendre beaucoup plus difficile l'obtention de mesures spectrales par tout citoyen exposé au bain radiant d'une station de base de téléphonie mobile. Or les analyses spectrales sont les seules qui permettent de mettre en évidence la responsabilité de tel ou tel réseau hertzien dans la pollution électromagnétique globale… Un opérateur pourra plus facilement dire ce n'est pas moi, c'est l'autre, et s'exonérer ainsi de toute responsabilité. Un beau travail de lobbying, chapeau l'artiste !
Mesdames, Messieurs les Maires et élu(ehes-du-Rhône, - Saint-Denis, Seine-Saint-Denis, - Bordeaux, Gironde. les Maires de ces communes ayant pris des arrêtés pour restreindre l’implantation d’antennes-relais de Téléphonie Mobile au nom du Principe constitutionnel de Précaution et conformément aux préconisations de nombreux experts. Ces arrêtés avaient été annulés par les Tribunaux Administratifs et Cours d’Appel alors que le Principe de Précaution doit être appliqué à la vue de décisions du CIRC et de l’OMS qui sont en train de reconnaître la nocivité des ondes radioélectriques classées dans le Groupe 2B « possiblement cancérogène » et la Résolution du Conseil de l’Europe en Mai 2011.
La décision n’est pas encore rendue, mais le Rapporteur Public a recommandé au Conseil d’Etat d’affirmer qu’en matière d’implantation d’antennes-relais de téléphonie mobile, « les décisions du Maire ne peuvent se substituer à celles du Ministère chargé des communications numériques et dt que le Rapporteur Public semble ignorer que l’ANFR n’a pas la compétence sur les risques sanitaires, car sa compétence est purement technique : attribution des fréquences, vérification qu’elles n’interfèrent pas entre elles, etc... D’autre part, une décision aussi lourde de conséquences ne pouvait être proposée que par un intervenant à l’impartialité irréprochable. Or, tel n’est pas le cas.
On veut leurs enlever l’autorité
Suite aux nombreux proçès contre les opèrateurs
OUI LES MAIRES DOIVENT CONSERVER LEURS POUVOIRS DE DIRE NON
A DES IMPLANTATIONS D'ANTENNES RELAIS QU'ILS JUGENT DANGEREREUSES
L'AFP a révélé vendredi 30 septembre 2011 à 20h50, que le rapporteur Xavier de Lesquen du Plessis Casso, a recommandé au Conseil d'Etat « d'affirmer qu'en matière d'implantation d'antennes-relais de téléphonie mobile, les décisions du maire ne peuvent se substituer à celles du ministère chargé des communications numériques et de l'Agence nationale des fréquences.» D'après lui, « la question de la protection de la population contre l'exposition aux ondes électro-magnétiques des antennes relais est avant tout du ressort de l'Agence nationale des fréquences (ANFR), qui dispose de la technicité nécessaire pour se prononcer. » Mieux, il recommande « d'affirmer dans toute sa rigueur l'exclusivité des pouvoirs de police spéciale du ministère et de l'ANFR, lorsque les pouvoirs de police générale dont dispose le maire heurtent frontalement les missions confiées aux autorités étatiques et à l'Agence. » Il précise cependant que « Ce principe d'exclusivité peut être remis en cause en cas de circonstances locales exceptionnelles, a ajouté le rapporteur, tout en estimant que ce n'était pas le cas pour les trois communes concernées ».
Le Conseil d'Etat interdit aux Maires de réglementer l'implantation des antennes relais sur le territoire de leur commune
Le Conseil d’Etat a statué : « Un Maire ne saurait réglementer par arrêté l’implantation des antennes relais sur le territoire de sa commune sur le fondement de son pouvoir de police générale ».
Cependant la Responsabilité du maire est engagée car il y a désormais une obligation de gestion du risque sanitaire au vu de la classification par l’OMS des champs de fréquences radioélectriques dans la catégorie des substances potentiellement cancérigènes (2B).Les Maires se doivent de réagir devant un texte qui leur ôte tout pouvoir de décision tout en leur laissant la responsabilité de gestion du risque sanitaire.
Puisqu'ils ne peuvent pas voir le panneau d'affichage , qui de plus est bien caché (voir photos) ,cliquez gauche sur les images avec la souris pour agrandir les photos.
Ce qui nous semble grave et important à porter à votre connaissance c'est que le CHSCT (Comité d'Hygiène et de Sécurité) a donné son accord pour l'implantation des antennes sans poser aucune question à la direction ou faire des recherches pour s'informer sur la dangerosité ou pas de celles-ci. Et tout cela avec la bénédiction du représentant de la Médecine du Travail présent à la réunion.
800 tracts ont été distribués dans le périmètre des 300 m autour de la future antenne,nous attendons que tous ceux qui sont contre ou ceux qui se posent des questions , se manifestent soit par mail ou par téléphone:ccarra.asso@gmail.com
puis nous ferons une rèunion d'infos (Dèjà 50 personnes au 14/10/2011)
Orange vend l’exploitation de vos données personnelles à des tiers
Cliquez sur ce lien: l’ami Korben qui a mis la première tarte à l’agrume ce matin. Nous allons nous employer à liquéfier un peu tout ça, histoire de vous en faciliter la digestion, et afin que vous compreniez qu’Orange est tout simplement en train de mettre en place un dispositif dangereux, le tout en pipeautant ses abonnés sur la finalité de cette nouvelle offre, présentée sous forme de panel expérimental.
« Consommateur c’est pour ton bien ! »
Toi, abonné d’Orange, tu en as assez de voir s’afficher des pubs pour Fiat alors que tu as acheté des Peugeots toute ta vie ? Laisse donc Orange archiver tes surfs, les analyser, et plus jamais de ta vie tu ne verras des pubs Fiat, on te servira que du Peugeot, promis juré craché ! C’est DPI, c’est magique, c’est Brazil ! Au passage, l’opérateur oublie de vous dire qu’il a derrière lui des annonceurs prêts à payer très cher pour vous envoyer une pub contextuelle ultra ciblée sur son portail, par mail et par téléphone. Multicanal tout ça … car oui, Orange vend bien l’exploitation de vos données personnelles à des tiers. D’ailleurs, depuis que le service marketing fait la loi chez cet opérateur, il va falloir vous y habituer, vous êtes des consommateurs, et Orange va vous faire consommer plus… terminé la mission de service public, maintenant on fait du gros business, quitte à le faire salement.
Puis c’est pas intrusif non plus
Ah tu penses qu’avec le mode navigation privée de ton navigateur on voit pas tous les sites que tu visites ? Tien on a une bonne promo en ce moment si tu les prends par 6. Alors certes, « Les sites traitant des sujets suivants – religion-philosophie, origine raciale, sexualité, appartenance politique ou syndicale, santé – sont exclus » … mais quid du taux d’erreur d’un tel système de traitement qu’on imagine pas autrement qu’automatisé, donc sujet à des erreurs. Orange ne fait jamais d’erreur ! clic et … on vous dit jamais ! reclic:JAMAIS ! clic
Si pour le moment rien n’indique clairement sur le site d’Orange que les outils mis en place seront bien des outils de deep packet inspection, on a chez nous le sentiment qu’il pourrait difficilement en être autrement.
Mais ne vous inquiétez pas, faites confiance à Orange, l’opérateur vous dit que c’est conforme à la règlementation de la CNIL… sans vous expliquer le détail technique du service, le procédé de collecte et de restitution de pub ciblée. On fait difficilement plus opaque
Voilà ce que nous dit Orange à propos du respect de la vie privée
Orange utilise une méthode conforme à la réglementation en vigueur (Loi Informatique et Libertés du 6 janvier 1978 modifiée en 2004)
Vos correspondances privées (notamment contenus des emails, messagerie instantanée, mots de passe) et vos téléchargements ne sont pas traités
Les sites traitant des sujets suivants – religion-philosophie, origine raciale, sexualité, appartenance politique ou syndicale, santé – sont exclus
Nous ne conservons aucun historique de votre navigation sur internet
Aucune donnée ne sera utilisée à d’autres fins que celles d’adapter nos publicités et de personnaliser nos services
Vos données Orange préférences sont supprimées en cas de désinscription
Allez regardez comment on est transparents
Dans sa grande mansuétude, l’opérateur vous laissera accéder à votre profil ! Trop sympa. Ce profil contiendra t-il l’historique exact collecté par Orange ou faudra t-il faire confiance au FAI ? Tiens l’offre est limitée dans le temps « Le panel Orange préférences durera 12 mois maximum« . Obligation légale ou aveu que les abonnés sont en trains de servir de cobaye pour la constitution d’une offre payante ? Et oui ! Après avoir tenté de faire payer l’abonné pour avoir moins d’Internet, on a un peu le sentiment qu’Orange s’apprête à faire payer l’abonné pour revendre ses données à des annonceurs.
Abonnés Orange FUYEZ ce panel, Orange n’offre pas de garantie suffisante concernant la manipulation et la protection de vos données personnelles.
Ce Jeudi 29 septembre 2011 Salle irène Jolio Curie à Venissieux 16 h a eu lieu la signature d'une charte avec les opèrateurs et la ville
Oui une charte est une bonne chose ,mais elle n'a d'intérêt que si elle protège la santé.
Nous regrettons de ne pas y avoir été invité
L'horaire 16 H a t'il été choisi, très peu de monde pour un acte si important, les membres de ccarra et Robin des toits se sont vu refuser le droit à la parole , alors que c'était une réunion publique! Mais Denise a quand même pu placer quelques mots ,vite étouffés par le présentateur.
De nombreuses chartes ,d’arrêtés ont été élaborées par des communes mais toutes n'ont rien données, ou pas respectées par les opérateurs ,aucune infos pour les riverains,qui se trouvent souvent devant le fait accompli, OULLINS CHASSIEUX, ECULLY etc ou cette accord est fait pour que la commune justifie l’implantation d'antennes sur des bâtiments public.
Oui le développement des nouvelles technologie est indispensable, Oui tous utilisent un portable, et l'utilise intelligemment, car ont sait aujourd’hui que c'est dangereux.L'OMS au bout de 13 ansle reconnait, Oui les antennes relais sont nécessaires à leurs fonctionnement
Avant tout accord ,le Maire étant le patron de sa commune, il peut et doit demander aux opérateurs la confirmation écrite avec entête de lettre :
-1-de l’innocuité des champs électromagnétiques qui émanent des antennes relais.
-2- De la prise en charge des assurances couvrant les risques sur la population et les riverains liés à ces champs électromagnétiques .
-3-La garantie de ne pas dépasser les 0,6 V/m d'émission de ces micros ondes pulsées en tous lieux de vie.
-4- ensuite la garantie qu'ils ne rajoutent aucun éléments et ne fasse aucune transformation ou rajouts sans informer les Mairies ou locataires ou assos ou riverains
Des Pyrénées-Orientales au Maine-et-Loire, de Montreuil (Seine-Saint-Denis) à Hérouville-Saint-Clair (Calvados), à Lyon et Paris, des riverains se mobilisent contre les antennes-relais de téléphonie mobile qu'ils estiment implantées trop près d'une école ou de chez eux.
Dans le conflit qui oppose les associations fondées pour l'occasion aux opérateurs téléphoniques, les premières viennent de marquer un point avec l'arrêt de la cour d'appel de Montpellier du 15 septembre. Celle-ci a ordonné à SFR de démonter un de ses pylônes de 12 mètres de haut situé à 80 m des maisons des plaignants, à Montesquieu-des-Albères (Pyrénées-Orientales), au nom du principe de précaution.
"Dans quelques années, on va assister à la mise en examen de maires à cause de ces installations", pronostique Me Jean Codognes. Inscrit au barreau des Pyrénées-Orientales et par ailleurs au mouvement Europe Ecologie-Les Verts, l'avocat se réjouit des conclusions de cette affaire qu'il a plaidée avec succès. Et n'a pas l'intention de s'en tenir là : conseiller municipal de Perpignan, il souhaite obtenir de sa ville, lors du conseil municipal du mardi 27 septembre, qu'elle s'engage vers la réduction de la puissance des ondes électromagnétiques. "Le combat sera long mais nous recevons de gros encouragements ces jours-ci", se réjouit le juriste, qui cite plusieurs autres affaires dans le département, notamment à Villeneuve-de-la-Raho où trois cas de cancer ont été diagnostiqués chez des enfants d'une même école proche d'une antenne-relais.
"Il est de la responsabilité des élus de la nation de ne pas attendre les certitudes scientifiques pour prendre des mesures de protection des populations (...)", écrivaient huit parlementaires le 13 juillet 2005, en préambule de leur proposition de loi sur les risques pour la santé publique liés à la téléphonie mobile. Parmi les signataires figurait Nathalie Kosciusko-Morizet, aujourd'hui ministre de l'écologie. Le texte demandait de ne pas exposer le public à des champs électromagnétiques supérieurs à 0,6 volt par mètre (V/m). En mai 2011, le Conseil de l'Europe réclamait le même seuil de prévention, voire un objectif de 0,2 V/m.
La tentative des députés est restée lettre morte. Toujours en vigueur, l'arrêté du 3 mai 2002 fixe les limites à 41 V/m et 61 V/m, en se référant à des normes européennes de 1999 qui tiennent compte du niveau d'émission en sortie d'antenne, plutôt que de l'exposition du public. L'Etat propose désormais un site d'information mais tarde à prendre la mesure de l'effervescence actuelle dans les villes comme dans les campagnes. Le groupe de travail présidé par le député (PS) François Brottes, formé au lendemain du Grenelle des ondes, a remis récemment un rapport qui laisse les parties prenantes sur leur faim. Les expérimentations prévues qui devaient permettre de progresser dans la réduction de la puissance d'émission des antennes-relais n'ont toujours pas pu être menées.
Les élus locaux restent démunis, pris entre enjeux économiques et convictions des défenseurs de l'environnement très déterminés, même si les certitudes scientifiques font défaut. Les batailles se livrent du coup sur le terrain judiciaire, avec des résultats contrastés. Orange, SFR et Bouygues, les trois premiers à développer leurs réseaux de télécommunication, ont acquis de l'expérience. Les conclusions penchent souvent en leur faveur - "à 92 % !", jure-t-on chez Bouygues -, en particulier lorsqu'elles émanent de tribunaux administratifs. Les opérateurs ont intérêt à se présenter devant ces juridictions devant lesquelles ils ont beau jeu de plaider qu'ils respectent scrupuleusement une réglementation... guère contraignante.
Le 4 février 2009, pour la première fois, une cour d'appel, celle de Versailles, condamnait Bouygues Telecom à démonter une de ses antennes à l'issue d'un long parcours judiciaire. Le jugement de Montpellier innove à son tour. Il concerne cette fois SFR, dont la cause semblait bien engagée : le juge des référés du tribunal de grande instance de Perpignan pensait renvoyer l'affaire devant un tribunal administratif. La cour d'appel en a décidé autrement.
Niant la qualité de service public de SFR - c'est là un argument récurrent des opérateurs -, citant des normes plus exigeantes prises par des Etats voisins et au nom du principe de précaution édicté par le Code de l'environnement, elle exige l'enlèvement de l'antenne-relais dans les six mois, sous peine d'une astreinte de 500 euros par jour. L'opérateur n'a pas encore fait savoir s'il pensait se pourvoir en cassation.
Encore une victoire dédiée à tous ceux qui se battent contre l'implantation anarchique des Antennes Relais
Nous voulons que la justice soit la même dans chaque ville,et que cela fasse jurisprudence hélas ce n'est pas le cas avec le proçès de l'ècole Gerson à Lyon
La décision de SFR d'installer cette antenne à Montesquieu-des-Albères était contestée par 26 riverains, qui avaient saisi fin 2009 le juge des référés du TGI de Perpignan, estimant que la proximité de l'antenne présentait "un risque grave pour leur santé et celle de leurs enfants" du fait des ondes électromagnétiques.
LA MAIRIE IMPOSE SES REGLES D'IMPLANTATIONS pour FREE ET ELLE A RAISON,merci monsieur le Maire
69120 vaulx en velin-
La Mairie confirme que étant consciente des inquiètudes de ses concitoyens et en vertu du principe de prècaution,pour recevoir une autorisation d'implantation d'antennes Relais sur la commune tout opérateurs devra s'engager par écrit sur:1-La confirmation de la prise en charge des assurances concernant les risques sur la population et les riverains d'antennes relais,liés aux champs électromagnétiques.2- La garantie de ne pas dépasser 0.6 V/m démission
Belle réussite pour l'apéro de la victoire
Vaulx-en-Velin Village le 24 septembre 2011.
Ce jour, une quarantaine de personnes (accompagnés par une vingtaine d'enfants) se sont réunis au pied du bâtiment qui devait accueillir l'antenne de Free Rue Lamartine. Les riverains étaient nombreux. M. Rinaldi de "CCARRA - Robins des Toits" avait fait le déplacement pour saluer la victoire de tous (voir photo avec notre Président).
Chacun a remercié l'action efficace de l'AVVV qui a aidé les riverains à abattre ce projet d'antenne. Tous ont donc célébré la victoire contre Free et ont accueilli avec plaisir la décision de la Mairie de faire marche arrière sur l'autorisation donnée à l'opérateur de téléphonie mobile. L'apéro s'est prolongé jusqu'à 13h au grand plaisir des enfants.
Le combat continue puisque l'AVVV a déposé aux cotés de CCARRA et de Robins de Toits, une demande de retrait de l'autorisation donnée pour la construction d'une antenne-relais au 7 chemin des Plates juste à côté de l'école King. A la lumière du présent succès, l'issue positive est probable. A suivre.
La victoire contre le projet d'antenne relais Rue Lamartine confirmée
Vaulx-en-Velin Village le 20 septembre 2011.
L'AVVV a reçu la confirmation écrite de la victoire contre le projet d'antenne relais de la Rue Lamartine (voir courrier ci-dessous). Une grande victoire pour toutes personnes qui se sont mobilisées.
au 56 Rue Anatole France,en général les opérateurs n'ont pas trop de soucis avec les HLM , car ils savent bien que les moyens financiers ne sont pas les mêmes que sur des propriétées privées.
Toute l'èquipeCCARRA souhaite une trés bonne rentrée à tous les enfants de la petite tête blonde au plus grand! tristesse pour certains parents et joie pour d'autres.Mais pensez à levez les yeux, antennes relais trop près = danger!
CLIC SUR L'image
RENTREE 2011 : PAS DE PORTABLES DANS LES CARTABLES !!!
Chers parents,
La rentrée approche, avec elle l’achat des fournitures scolaires, celles qui sont nécessaires mais aussi celles qui tentent, et à cette occasion, l’achat d’un téléphone portable pour votre enfant scolarisé se pose. Il en a tellement envie et après tout, ne seriez-vous pas rassurés de le savoir joignable à tout moment ?
Attention cependant.
Les signaux d’alarme concernant la dangerosité des radiofréquences utilisées notamment par les téléphones mobiles se multiplient. Pour ne citer que le dernier, l’OMS, pourtant notoirement proche de l’industrie, a décidé, le 31 mars dernier, de classer les radiofréquences dans le groupe des « cancérigènes possibles ». De nombreuses études scientifiques incontestables, que vous trouverez sur le site de Robin des Toits, prouvent ce risque : http://www.robindestoits.org/_a1251.html
Et quel que soit le risque, il est plus important pour les enfants, dont le crâne est plus mince, dont les tissus sont moins épais, et surtout dont le cerveau est en développement. C’est pour cela que le DAS (débit d’absorption spécifique, dont l’affichage sur les points de vente et les publicités des téléphones mobiles est désormais obligatoire), calculé en fonction d’un organisme adulte, n’est pas valable pour les enfants. Pour eux, pour un même téléphone, il est plus élevé, voire supérieur au seuil de sécurité.
Nous pouvons décider, pour nous-mêmes, de nous exposer à une source de risque. Nous n’avons pas le droit de faire ce choix pour nos enfants, qui ne sont pas en mesure de décider de façon éclairée, qui sont plus fragiles, et qui seront exposés plus longtemps au cours de leur vie. Nous avons grandi à l’abri des ondes. Ce n’est pas leur cas. Nous devons les protéger. En présence d’enfants, le principe de précaution doit l’emporter.
Deux études sont en cours sur les effets du portable sur les enfants. La première, c’est l’étude internationale « Mobikids » dont les résultats ne seront pas connus avant des années. La deuxième… c’est celle que nous sommes en train de faire maintenant, in vivo, avec nos enfants. Voulez-vous faire de vos enfants des cobayes ?
« Mais si c’était dangereux pour les enfants, ce serait interdit ! » pensez-vous. Mais ça l’est presque ! L’article L5231-3 du code de la santé publique dispose « Toute publicité, quel qu’en soit le moyen ou le support, ayant pour but direct de promouvoir la vente, la mise à disposition, l’utilisation ou l’usage d’un téléphone mobile par des enfants de moins de quatorze ans est interdite ». En clair, on n’a pas le droit de faire de publicité pour les portables vers les moins de 14 ans. On ne dit pas plus clairement que c’est dangereux, même si les industriels tournent allègrement cette interdiction à coup de visages floutés ou à demi-cachés ou de « packs familles ».
Et d’un point de vue éducatif, ce n’est pas bon non plus… Le portable donne l’habitude de l’immédiat, de l’inorganisation, de l’attention incapable de se fixer cinq minutes de suite sur quelque chose, de l’attente constante et impatiente du prochain appel ou message. Nous avons appris à nous organiser, à prévoir, à attendre, à arriver à l’heure, et puis les portables sont arrivés ensuite et nous ont facilité la vie, mais pour les enfants, il n’y aura pas cet apprentissage pourtant nécessaire. Demandez aux enseignants leur avis sur le portable pour les enfants, vous serez édifiés.
« Mais le portable assure leur sécurité ! » » pensez-vous. Non. Eduquer un enfant, c’est organiser ses activités, surveiller ses fréquentations et lui faire une confiance adaptée à son âge ; pas le géolocaliser ou l’espionner. Les enlèvements ou disparitions d’enfants n’ont pas disparu avec l’émergence des portables, et outre les risques pour la santé, le portable, surtout s’il inclut Internet, peut aussi être l’occasion de contacts que vous ne souhaitez pas pour votre enfant. Sans compter les risques de vol ou de racket. Le portable est un facteur d’insécurité plus que de sécurité.
« Mais tous ses copains en ont ! » dites vous. Pas tous, si vous regardez bien, il y a forcément des parents raisonnables dans le lot. Et si vous dotez votre enfant d’un portable, vous renforcerez la pression sur ceux qui résistent encore.
« Mais il en meurt d’envie ! » Essayez d’analyser ce qui se cache sous cette demande. Si c’est une demande de communication, votre enfant peut avoir une adresse protégée par un mot de passe sur l’ordinateur familial. S’il s’intéresse surtout à la musique, offrez lui un baladeur numérique…
Et ne comptons pas sur un comportement « raisonnable » d’un enfant avec un portable. Un enfant ne peut pas intégrer le message de santé publique : il fait confiance à ses parents ; si c’était dangereux, ils ne lui en auraient pas offert un ; s’ils lui en donnent un, c’est que ce n’est pas dangereux. Nous ne sommes pas capables d’avoir un usage modéré de ces merveilleux joujoux, alors un enfant ? Et l’oreillette ? Avez-vous déjà vu un enfant utiliser une oreillette ?
Si le mal est fait, si votre enfant est déjà équipé, et s’il vous semble impossible de revenir en arrière, aidez-le au moins à prendre les mesures de protection qui s’imposent : forfait respecté, SMS plutôt qu’appels vocaux, usage de l’oreillette, pas d’usage dans les transports en commun où l’émission est maximum, pas de maintien près des organes vitaux - c'est-à-dire en clair pas de portable dans la poche, portable éteint la nuit et surtout pas posé allumé sur la table de chevet, voire sous l’oreiller : un portable émet tout le temps et ces émissions perturbent le sommeil, temps du repos et de la mémorisation.
Faites circuler ce message vers tous les parents de votre connaissance !!
Le Grenelle des ondes, au rapport Le journal de l'environnement, le 1 septembre 2011 par Geneviève De Lacour
http://www.journaldelenvironnement.net/article/antennes-relais-point-d-etape-sur-l-experimentation-des-villes-pilotes,21170 Le rapport du député de l'Isère François Brottes sur l’exposition aux ondes électromagnétiques a été rendu public le 31 août. Ce premier état des lieux de l'exposition aux ondes réalisé dans neuf quartiers pilotes de France, et mené dans le cadre du Grenelle des ondes, rend compte de 24 mois d’expérimentations. Abaisser les puissances aboutirait à une forte détérioration de la couverture, notamment à l’intérieur des bâtiments conclut le rapport. Lors du « Grenelle des ondes » organisé en 2009, certaines associations et notamment Robin des Toits avaient demandé à ce que soit réalisée une évaluation de la faisabilité technique d’une diminution des seuils d’exposition aux antennes, à partir d’une étude de modélisation. L’idée étant d’en savoir un peu plus sur la possibilité de réduire l’exposition du public aux ondes électromagnétiques émises par les antennes-relais, sans engendrer une dégradation de la couverture et de la qualité de service, et cela à des coûts économiquement acceptables. Le ministère en charge de l’écologie devait financer à hauteur d’un million d’euros la réalisation de mesures dans les écoles et les crèches de ces villes (voir article JDLE). Etienne Cendrier, porte-parole de Robin des toits, et qui est à l’origine de cette campagne de test du seuil de 0,6 Volt/mètre (V/m) dans des villes-pilotes, s’était félicité de cette avancée, mais attendait de voir la mise en place concrète de la mesure. C’est maintenant chose faite. Une première phase de travail du Comité opérationnel (Comop)associant depuis 24 mois des représentants de l’Etat, de collectivités locales, d’opérateurs de téléphonie mobile, d’associations de défense des consommateurs et de protection de l’environnement, sous la houlette de son président, François Brottes, député socialiste de l’Isère, a été menée et le rapport remis aux ministres de l’écologie et de l’industrie, mardi 30 août. Diffusé hier au grand public, le document fournit donc ses premières conclusions. Selon le communiqué des ministères de l’écologie et de l’industrie, l’état des lieux synthétisé par le Comop montre des niveaux d'exposition entre 0,1 et 5 Volt/mètre. Il en ressort que 99,9% des valeurs mesurées se situent sous 5V/m, et environ 95% sous 1,5V/m - alors que les valeurs limites réglementaires sont de 41V/m ou supérieures. Les auteurs du rapport reconnaissent toutefois l'existence de quelques points atypiques, où l'exposition est sensiblement plus élevée que la moyenne, tout en restant inférieure aux valeurs-limites. «Ces points atypiques doivent justifier un traitement spécifique», ajoutent-ils, puisque des simulations montrent qu'il est possible de réduire l'exposition sans dégradation significative de la couverture. Au total, 9 villes pilotes ont participé à cette expérimentation menée dans 17 quartiers pilotes représentatifs de la diversité des configurations urbaines. Les premières conclusions concernent 9 quartiers au total. A Paris, dans le 14e arrondissement, le niveau d'exposition maximal mesuré sur un des points les plus exposés est de 5,86 V/m et à Courbevoie, il atteint 8,01 V/m, selon le rapport. Les autres mesures concernaient le 15e arrondissement parisien et les villes de Grenoble (Isère), Thiers (Puy-de-Dôme), Kruth (Haut-Rhin), Grand-Champ (Morbihan), Brest (Finistère) et Cannes (Alpes Maritimes). Le groupe a ensuite opéré, dans un second temps, des simulations de réduction de puissance des antennes relais jusqu'à 0,6V/m. Ces simulations ont été effectuées à Paris 14e, Grenoble et Grand-Champ. Résultat : « l’abaissement de l’exposition pourrait s’accompagner d’une forte détérioration de la couverture notamment à l'intérieur des bâtiments » (pertes de 82% en moyenne à Paris, 44% à Grenoble et 37% à Grand Champ) précise le communiqué des deux ministères. A l'issue de la première phase de travail du Comité opérationnel, le député socialiste recommande donc de mettre à disposition des villes pilotes la boîte à outils (fiches démagogiques, documents questions-réponse, exposition itinérante) élaborée par le Comop pour améliorer la concertation autour des projets d'implantation d'antennes relais. De nouvelles campagnes de mesures sont également programmées. Des expérimentations de diminution de la puissance de plusieurs antennes de certains sites des quartiers pilotes auront lieu à l'automne. Ces expérimentations consisteront en une diminution de la puissance de plusieurs antennes de certains sites dans les quartiers pilotes sur une seule et même fréquence (1 800 MHz). La couverture sera alors contrôlée à l’aide d’appareils sélectifs. Le rapport recommande aussi de mettre effectivement en place, dès 2012, le dispositif instauré par les lois de Grenelle. C’est-à-dire un système permettant à toute personne de faire mesurer gratuitement par un organisme accrédité indépendant, le niveau des champs magnétiques dans son logement à proximité d'une antenne relais. Autre recommandation faite par le groupe de travail : engager des travaux de simulation sur l'impact d'antennes 4G. A l’issue de cette première étape, la poursuite des travaux sera assurée par un comité technique, piloté par l’Agence nationale des fréquences (ANFR). La première réunion de ce comité technique est programmée à la mi-octobre, selon le ministère.
Attention aux Signatures : aucune, même pour la Réception de Travaux, etc.
Et voila, dernier acte, le tour de passe-passe est joué gagnant dans une indifférence quasiment générale. Les français vont pouvoir payer plus cher leur électricité pour alimenter encore un peu plus les actionnaires !
ATTENTION vis à vis des fameux nouveaux compteurs, maintenant c'est individuellement qu'il faudra résister pour ne rien signer !!!
AUJOURD'HUI DÉBUT ET FIN DE LA SESSION PARLEMENTAIRE AU SÉNAT POUR PASSER LE PROJET DE LOI NOME ......et les Nouveaux Compteurs EDF ! DANS QUELQUES JOURS CE NE SERA PLUS UN PROJET MAIS UNE VÉRITABLE LOI SCÉLÉRATE AVEC > > APPLICATION AU 1er JANVIER 2012.
QUAND NOS FACTURES ET CELLES DE NOS AMIS AUGMENTERONT ON NE POURRA PLUS DIRE QUE L'ON NE SAVAIT PAS.
APRÈS FRANCE TÉLÉCOM, LA POSTE, LA SNCF, ETC... EDF Pour les fameux Compteurs qui devraient être installés bientôt et qui devraient nous être facturés au prix très très Fort (vers les 300 € ) , et qui, de surcroît, ne seraient pas fiables : il ne faudra rien signer.
On ne peut pas refuser à EDF d’accéder aux Compteurs, et de les changer : par contre comme nous n’avons rien demandé, nous n’avons aucune Obligation de Signer quelque Document que ce soit, et, du moment que nous n’aurons rien signé, EDF ne pourra pas nous obliger à payer ces Compteurs….
LES TARIFS D’ÉLECTRICITÉ VONT AUGMENTER POUR PERMETTRE LA CONCURRENCE ! À TERME, L’USAGER PEUT S’ATTENDRE À DES HAUSSES SUBSTANTIELLES DE SA FACTURE, COMME CELA S’EST DÉJÀ PRODUIT POUR LE GAZ.NE LAISSONS PAS FAIRE !
C'est la Loi Nome, soit la Nouvelle Organisation du Marché de l’Electricité, concoctée par le Gouvernement.
Le principe en est simple : constatant que la Concurrence ne fonctionne pas (plus de 96 % des Français restent Fidèles à l’Opérateur Historique (EDF), le Gouvernement a décidé de la créer… artificiellement. La Loi étant passée dans une relative indifférence, à partir du 1er Janvier 2011, EDF aura obligation de revendre à ses Concurrents jusqu’à 25 % de sa Production d’Electricité.Un Véritable hold-up ! Les Fournisseurs d‘Electricité vont se voir offrir un quart de la Production, que les Français ont déjà payé avec leur Facture, pour qu’ils puissent réaliser des Profits, au seul bénéfice de leurs Actionnaires.
C’est une première que d’obliger une Entreprise, dans le Monde de la "Concurrence libre et non faussée", à céder une partie de ses Atouts à des Concurrents qui produisent peu ou pas du tout d’électricité. Si vous êtes scandalisé, diffusez au moins ce message !
Une fois livré à la Concurrence et surtout au " Privé " ce sera trop tard. Le Prix de l'Electricité sera fixé par des Groupes Privés qui en fait seront des Filiales d'un Seul et Unique Groupe ! Vous n'y croyez pas ? Alors remettez vous dans le contexte de nos chères Autoroutes Françaises que nous, nos Parents et Grands Parents avons payé avec nos impôts et qui ont été Vendues et Bradées à de Grands Groupes Privés …c'était pour financer les retraites à l'èpoque!!!!
Antennes relais : le gouvernement souhaite diminuer l'exposition aux fréquences Publiée par Olivier Robillart le Jeudi 1er Septembre 2011 La ministre de l'Ecologie (Nathalie Kosciusko-Morizet) et le ministre de l'Economie numérique (Eric Besson) indiquent que de nouveaux travaux portant sur les futures installations d'antennes relais seront menés. Dans un communiqué commun, ils évoquent également l'idée de diminuer la puissance de certaines antennes. Suite à la remise d'un rapport de François Brottes, député socialiste de l'Isère, les deux ministres invitent à la mise en œuvre de deux types de mesures. Au sujet de l'exposition des riverains aux ondes électromagnétiques émises par les antennes relais de téléphonie mobile, le rapport précise que des travaux ont permis de dresser un état des lieux de ces expositions.
Concrètement, le rapport préconise également de renforcer les contrôles en amont de toute installation d'antennes relais. Même si ces propositions n'ont aucune valeur formelle, les futurs textes portant sur le sujet pourront tenter d'établir une communication entre opérateurs et les mairies.
De même, les occupants de bâtiments dans lesquels des antennes sont disposées pourraient à l'avenir être avertis d'une implantation dans les quinze jours précédant les travaux. Pour autant, le ministère explique simplement qu'il étudiera l'opportunité d'élaborer « de nouvelles dispositions législatives ou réglementaires » pour ces points précis. Les objectifs sont donc inscrits sur le papier, reste à les faire appliquer.
Haut débitpar Catherine Ficat, publié le mercredi 13 juillet 2011L'Association nationale des élus de montagne (Anem), l'Assemblée des départements de France (ADF) et Eutelsat Communications ontdévoilé le 13 juillet la liste des départements et collectivités lauréats pour la démonstration haut débit du satellite nouvelle génération KA-SAT. Les partenaires ont ouvert, en mai et juin, un appel à candidatures auprès de leurs adhérents pour l'installation gratuite de paraboles et modems satellitaires (lire notre article du 24 mai). 12 dossiers (lire encadré ci-dessous) ont été retenus parmi la vingtaine de propositions reçues. Concrètement 81 utilisateurs (trois utilisateurs dans trois zones blanches de neuf départements), seront équipés pendant un mois à titre gratuit et recevront le haut débit par Tooway, (le service d'accès à internet d''Eutelsat). "L'expérimentation sera mise en œuvre dans le courant du mois d'août" a précisé Michel de Rosen, directeur général d'Eutelsat. Au bout de ce mois de test, les utilisateurs auront la possibilité d'acheter les équipements - environ 300 euros pour l'antenne et le modem, l'installation ayant déjà été faite – "les collectivités pourront participer à ce financement", a complété Claudy Lebreton, président de l''ADF après avoir rappelé l'enjeu majeur de l'équipement numérique des territoires pour les départements qui ont les solidarités sociales et territoriales pour compétence. L'objectif pour les trois partenaires est de voir comment le haut débit est utilisé et comment marche le satellite. "L'Anem attache beaucoup de prix à cette expérimentation grandeur nature", a insisté Vincent Descoeur, président de l'Anem pour qui la question de l'accès au haut débit "se pose immédiatement".
LES 12 COLLECTIVITÉS LAURÉATES : Conseil général des Côtes d'Armor, conseil général d'Eure-et-Loir, Syndicat intercommunal à vocations multiples (Sivom) du Niolu et communauté de communes d'Aghja-Nova (Haute-Corse), conseil général des Hautes-Alpes, conseil général de la Haute-Saône, communauté de communes Faucigny-Glières (Haute-Savoie), conseil général de l'Hérault, communauté de communes Contrée d'Ablis-Porte d'Yvelines (Yvelines), Syndicat intercommunal de télévision du Conflent (Pyrénées-Orientales), communauté de communes Arroux-Mesvrin (Saône-et-Loire), ville de Lamontélarié (Tarn), Syndicat intercommunal de télévision et de télécommunications du Nord-Est varois (Var).
Le principe de précaution et le droit à un environnement sain, particulièrement en faveur des enfants et des générations futures, doivent être des facteurs-clé de tout développement économique, technologique et social de la société.
DE SUITE A 0.6 V/m PUIS 0.2 V/m
« Après avoir analysé les études scientifiques disponibles à ce jour, et suivi les débats d'experts organisés dans le cadre de la commission de l'environnement, de l'agriculture et des questions territoriales, il y a des preuves suffisantes d'effets potentiellement nocifs des champs électromagnétiques sur la faune, la flore et la santé humaine, pour réagir et se prémunir contre de graves dangers sur l'environnement et la santé.
900 foyers d'une zone peu dense de Saint-Lô raccordés au très haut débit Fibre optique
par Luc Derriano / EVS, publié le mercredi 27 juillet 2011L'expérimentation de fibre optique jusqu'à l'abonné (FttH) de Saint-Lô (50) est entré, fin juillet, dans sa phase opérationnelle avec la commercialisation des 900 prises nouvellement éligibles au très haut débit (THD). Manche Télécom, délégataire du syndicat mixte Manche Numérique, a sélectionné, dans le cadre de ce projet pilote du plan national de THD, une zone "peu dense" du territoire de la commune : environ 900 foyers du quartier sud-ouest. Manche Numérique, Manche Télécom, les opérateurs SFR et France Télécom/Orange ont signé une convention, dans le but de mettre en place cette expérimentation. Les principaux objectifs de cet accord visent à identifier les bonnes pratiques relatives aux architectures techniques, au déploiement et aux processus de co-investissement. L'expérimentation fait donc l'objet d'un cofinancement public-privé avec une participation des partenaires, SFR et Orange et de l'État dans le cadre du grand emprunt. Aujourd'hui achevés, les travaux sur la zone concernée ont utilisé de manière importante le déploiement de câbles de fibres optiques sur des réseaux déjà existants : le réseau de distribution publique d'électricité (aérien ou souterrain), le réseau de France Télécom (aérien ou souterrain), le déploiement en façade. La construction de ce réseau respecte les choix technologiques déjà faits sur Saint-Lô, à savoir un réseau neutre et ouvert. Terminé, ce réseau FttH sera donc intégré au patrimoine public (propriété de Manche Numérique). En prévision de la réalisation des raccordements finaux, les contacts ont été engagés avec les habitants. Et après ? "Le déploiement de la fibre optique pourrait rapidement se réaliser sur toute l'agglomération si les opérateurs en acceptent le principe", explique le syndicat Manche Numérique. Le conseil général et la communauté d'agglomération ont en effet adopté son financement. Manche Numérique a, en outre, été l'une des premières collectivités à adopter son schéma directeur territorial d'aménagement numérique (SDTAN) qui prévoit le THD pour tous dans les quinze prochaines années. Dans le cadre d'un avenant à la précédente délégation de service public, le déploiement de 26.000 prises est déjà en cours à Saint-Lô et Cherbourg. 4.000 prises sont commercialisées à Saint-Lô et 9.000 à Cherbourg. Près de 1.000 clients sont raccordés à Saint-Lô via le seul opérateur présent, SFR. Ce projet pilote manchot est l'un des sept dossiers retenus au niveau national dans le cadre du grand emprunt. Les autres se trouvent en Savoie (communauté de communes Coeur de Maurienne), dans le Puy-de-Dôme (conseil régional d'Auvergne à Issoire), en Seine-et-Marne (Chevry-Cossigny), en Lozère (Aumont-Aubrac), en Haute-Savoie (Sallanches) et en Vendée (Mareuil-sur-Lay-Dissais).
Très haut débit : 900 millions à portée de main pour les collectivités
LE FTTH EN SEINE-ET-MARNE : UN PROJET PIONNIER DEPUIS 2009 Grâce à l'action du conseil général et de la région Ile-de-France, le département dispose, depuis début 2009, d'un réseau de 1.170 kilomètres de fibre optique, appelé réseau Sem@for77. A Chevry-Cossigny, le projet pilote a permis de raccorder 1.500 logements avec un taux de pénétration de 65%. "L'attente de la population est garantie en milieu rural", s'est réjoui Bertrand Caparroy, premier vice-président du conseil général en charge du numérique. Le Commissariat général à l'investissement a même accordé 200.000 euros de rallonge pour finaliser la couverture de la commune. http://www.localtis.info/cs/ContentServer?pagename=Localtis/LOCActu/ArticleActualite&jid=1250262221960&cid=1250262216735
Aménagement numériquePublié le jeudi 28 juillet 2011 Le gouvernement a ouvert le guichet de financement pour les réseaux d'initiative publique. Il n'y a pas de date limite pour déposer les projets. L'instruction des dossiers commencera dès leur réception. "J'ai le plaisir de vous annoncer le lancement du guichet de soutien aux projets des collectivités locales [...]. Le cahier des charges sera publié cette semaine au Journal officiel", a lancé Eric Besson, ce 27 juillet sur la place de la mairie de Chevry-Cossigny (77). Le ministre de l'Industrie et de l'Economie numérique a en effet tenu à ce déplacement en "terre numérique", sur l'une des sept communes pilotes qui ont bénéficié d'un déploiement expérimental en fibre optique grâce au programme d'investissements d'avenir. Il a présenté la nouvelle étape du programme national très haut débit, en présence du maire Pierre Bazier, du président du conseil général de Seine-et-Marne, Vincent Eblé, du conseiller régional Philippe Sainsard et du député Guy Geoffroy. Suite à consultation et afin "d'apporter des réponses concrètes pour que les opérateurs privés, les collectivités territoriales et l'Etat puissent travailler ensemble en cohérence, à ce grand chantier", le gouvernement a pris quatre décisions complémentaires, a-t-il précisé. Commissions régionales pour l'aménagement numérique Premièrement, des commissions consultatives régionales pour l'aménagement numérique du territoire (CCRANT) associant les collectivités et les opérateurs sont mises en place "à la rentrée", sous l'autorité du préfet de région, garant de la cohérence des projets et de la bonne couverture de tous les territoires. Elles auront pour objet de favoriser la qualité du dialogue entre les opérateurs privés et publics et s'assureront de la bonne réalisation des engagements de chacun. Les principaux opérateurs "ont démarré, depuis la semaine dernière, les déploiements dans les zones moins denses du territoire. Ils se sont engagés à couvrir 57% de la population en fibre optique dans les dix prochaines années. Le gouvernement examinera tous les ans si ces engagements sont bien respectés et modifiera la zone d'intervention privée en cas de retard avéré", a prévenu le ministre. L'annonce des investissements des opérateurs (AMII) bloque en effet la possibilité d'intervention des collectivités. Celles-ci craignent que les opérateurs ne gèlent ces investissements publics en jouant la montre et ne déploient finalement que très tardivement, voire jamais, dans les zones les plus éloignées. Mieux chiffrer les investissements Deuxièmement, une étude sera lancée "avant la fin de l'année" pour préciser, au vu des premiers projets, les évaluations du coût des déploiements et le modèle économique permettant de garantir à tous les ménages français, y compris ceux situés dans les zones les moins denses du territoire, leur raccordement au plus tard en 2025, conformément aux engagements du président de la République. Le président de l'Arcep, Jean-Ludovic Silicani, a lui aussi annoncé ce chiffrage en cours qui se base notamment sur les cartes précises des réseaux de fibre de France Télécom. Des mesures spécifiques pour le rural et l'Outre-Mer
Troisièmement, les plafonds de cofinancement sont relevés de 350 euros par prise à 433 euros par prise afin de mieux prendre en compte la situation des territoires les plus ruraux. C'est notamment l'engagement qu'avait déjà pris Bruno Le Maire, le ministre de l'Agriculture et de l'Aménagement du territoire, lors de la répartition des 2 milliards d'euros prévus sur le volet Infrastructures des investissements
d'avenir, le 27 avril dernier. En outre, le montant de cette intervention maximale sera doublé pour le raccordement d'entreprises situées dans des zones économiques ayant vocation à être labellisées "zone d'activité très haut débit" (11 ZAE ont actuellement décroché le label THD du gouvernement) et triplé pour les bâtiments prioritaires d'enseignement et de santé. Quatrièmement, les taux d'aide applicables aux départements d'Outre-Mer sont majorés forfaitairement afin de prendre en considération leur spécificité, comme
déjà annoncé par Buno Le Maire. Et même, les collectivités d'Outre-Mer qui ne sont actuellement pas reliées à l'internet mondial par câble sous-marin pourront déposer un dossier de demande de subvention spécifique pour ce faire. Le guichet de prêts pour les opérateurs (1 milliard d'euros) ainsi que le soutien à
la R&D en faveur des technologies satellitaires devrait être mis en place dès la rentrée, précise de son côté le Commissariat général à l'investissement. "Je voudrais vous faire part d'un voeu. Outre la bonne utilisation du Fonds de solidarité numérique, c'est-à-dire bien évidemment à destination des collectivités territoriales, il serait fortement souhaitable que l'aménagement numérique se
fasse grâce à la contractualisation" a interpellé Vincent Eblé. Le président du conseil général s'est dit inquiet que les intentions des opérateurs "ne prennent pas en compte notre schéma directeur territorial d'aménagement numérique, venant perturber sa mise en oeuvre", voire même la rentabilité du réseau d'initiative lui-même.
Mary George et coll. (du CDC, Center for Disease Control, américain) identifient une tendance à l’augmentation du taux des AVC ischémiques chez les adolescents et les jeunes adultes. Les auteurs appellent à des mesures de santé publique pour réduire les facteurs de risque.
Le nombre des hospitalisations pour AVC ischémiques s’est accru de 37 % pour
les adolescents et les adultes jeunes (entre 15 et 44 ans) en 14 ans, de 1995 à 2008, selon cette étude, publiée dans les « Annals of Neurology ». Les résultats font par ailleurs état, dans la population des jeunes gens, d’une augmentation de la prévalence de l’HTA, du diabète, de l’obésité, des troubles lipidiques et du tabagisme, toutes pathologies et anomalies qui peuvent être mises en relation avec l’augmentation des AVC.
Des études antérieures récentes ont montré que les AVC des jeunes comptent maintenant pour 5 à 10 % de l’ensemble des AVC, et que cette pathologie fait
partie des 10 causes les plus fréquentes des décès dans l’enfance.
Les résultats de l’étude montrent que, parmi les hospitalisations pour AVC
ischémique, près d’un patient sur trois entre 15 et 34 ans et plus de la moitié des plus de 35 ans présentent aussi une HTA. Un quart des 35 à 44 ans ont de surcroît un diabète. Le tabagisme est présent chez une femme sur quatre entre 15 et 34 ans, une femme sur trois entre 35 et 44 ans et un homme sur trois de 15 à 44 ans. D’autres comorbidités significatives sont trouvées : obésité et diabète.
› Dr BÉ. V.« Annals of Neurology », 1er septembre 2011 ; doi : 0.1002/ana.22539.
Fidésiens de la Rue Jallade attendez vous à une baisse de la valeur de vos biens de 30% à 40% et ceci dans les 600 m de l'antenne relais à Sainte Foy Les Lyon pour des implantations non désirées! de FREE et orange
REPORTAGE TV et Réunion publique en préparation
A Sainte Foy Les Lyon FREE se cache pour déclarer qu'il va implanter des antennes relais au 10 rue Jallade, et deviné de qui ? réponses des aveugles
Sur la maison des aveugles!, FREE chercherait t'il à passer inaperçu avec un panneau d'affichage bien caché ? il est évident que l'ont se doute de la volonté de l'opérateur, si il était correct ils aurait dut le placer devant l'entrée et non derrière les voitures et pourquoi pas en braye et surtout le placer devant l'entrée comme celui des travaux qu'elle hypocrisie!!!!
Ce qui nous inquiète est que le CHSCT (Comité d'Hygiène et de Sécurité) a donné son accord pour l'implantation des antennes sans poser aucune question à la direction ou faire des recherches pour s'informer sur la dangerosité ou pas de celles-ci,et tout cela avec la bénédiction du représentant de la Médecine du Travail présent à la réunion.Il vous faut savoir que ces antennes peuvent couvrir à plus de 500 m en urbain, 5000 m en semi urbain et de 14000 à 30 000 m en rural.
et le plus beau pour la fin 2 implantations graves EN PLEIN MILIEU D'UN HÔPITAL A SAINTE FOY LES LYON
Absurdité, incohérence,alors que le téléphone mobile est interdit d'utilisation à l’hôpital on y autorise une antenne sur un pylône à 30m des premières maisons, à 75 m de la maternité, à 60 m du service des personnes agés . Ce sont les mêmes micro-ondes pulsées pour l'un le portable comme pour l'autre l'antenne, il y a émissions et réception et qui en semi Urbain peut porter jusqu'à 5000m .Personne ne réagi sont ils déjà tous lobotomisés
ET 13 ANTENNES FACE AU COLLEGE LE PLAN DU LOUP
jusqu’où ira la provocation des opérateurs pour prouver qu'il a tous les droits !!!!!
Puisqu'ils ne peuvent pas voir le panneau d'affichage , qui de plus est bien caché (voir photos) ,cliquez gauche sur les images avec la souris pour agrandir les photos
FRANCHEVILLE 69340 pas d'antennes Orange au 2 Rue du Moulin
Clic sur les images pour agrandir
Un bois classé, 2 refus d'implantations du maire, un portail installé pour que les engins ne passent pas sur un terrain privé, des irrégularités au plan d'urbanisme, plus de 20 mètres carré au sol donc obligation de permis de construire et non une simple autorisation de travaux
Après tout cela l’opérateur n'a pas encore compris qu'il faut mettre son pylône ailleurs
Comme d'habitude les Riverains ont appris qu'il y aura des antennes relais, bien après la signature, entre le bailleur ICF (HLM SNCF) et l'opérateur SFR.
Affichage discret et non validé, deux rassemblements d'infos ont été organisés par David le dynamique déclencheur de cette contestation, qui recueille plus de 300 signatures contre cette implantation .
Au deuxième rassemblement les signataires ont été invités à s'expliquer face à des riverains très en colères, on pouvait ressentir l'accueil tendu.
Bien courageux tout de même de faire face mais sans convaincre le représentant SFR à refusé de répondre à toutes les questions du public en prétextant la présence d'une journaliste.
David a exposé les faits, et la détermination de ne pas avoir ces antennes sur leurs têtes et face aux immeubles alentours, puis a proposé de remettre en main propre au responsable communication D'ICF une pétition celui ci la refusé et à proposé un envoi par la poste !
A toutes les questions ainsi qu'à celles du public la réponse est : je ne suis pas habilité pour vous répondre, quand au responsable de la communication D'ICF il n'est pas un bon commercial D'SFR puisqu'il n'a convaincu personne !!
Le refus total de cette implantation par les riverains vont certainement animer le quartier et toute la ville par des actions de blocage.
Le passage en force des opérateurs pour installer leurs antennes relais nuit à leurs images de marque.
Le désespoir est mobilisateur et quand il est mobilisateur il devient désobéissance social . Les riverains des 55 coordinations en France sont exaspérés de ce comportement autoritaire et féodal.
69120vaulx en velin La Mairie confirme que étant consciente des inquiètudes de ses concitoyens et en vertu du principe de prècaution,pour recevoir une autorisation d'implantation d'antennes Relais sur la commune tout opérateurs devra s'engager par écrit sur:
1-La confirmation de la prise en charge des assurances concernant les risques sur la population et les riverains d'antennes relais,liés aux champs électromagnétiques.
2- La garantie de ne pas dépasser 0.6 V/m démission
LA COMMUNE A SOUMISSIONNEE POUR LE 0.6 v/M ,mais a t'elle les moyens technique de contrôle ? des mesures d'émissions de ces micros ondes pulsées!!NON, des contrôles ont été effectués ce mardi 6 septembre sur plusieurs sites,par Robin des toits plus de 1 V/m par endroit vous me direz eh! bien cela ne dépasse les 41 et 61 V/m , mais sachez que même 1 v/m c'est trop si les personnes sont à moins de 300 m de ces antennes relais.
Il est vrai que certains Maires sont embarrassés avec ce problème d'antennes et ont du mal à concilier avec la population, ont veut des téléphones donc il faut des antennes , oui mais à 0. 6V/m, et cela marchera très bien ,dés 0,001 V/m .
L’autorisation administrative n’est pas affichée :’accord administratif impose l’affichage public de cette autorisation de travaux visible du domaine public. Sur ce panneau doivent être indiqués les coordonnées du Maître d’Ouvrage, la nature des émetteurs, avec leurs caractéristiques (bande de fréquence, puissance avec gain, rayon de cellule), la hauteur à partir du sol, le détail des références cadastrales de la parcelle concernée. Or ces informations ne sont pas affichées.Le présent projet ne respecte donc pas le Code de l’Urbanisme.
Un rassemblement avec presse et TV est prèvue , avec l'association AVV et son président Monsieur Bertin, bien sûr! Robin des toits et CCARRA soutiennent celà!! plus de 300 signatures à leur actif nous laisse présager une réussite de cette manifestation , de plusieurs quartiers de Vaulx en velin
l’AVVV 39 rue Franklin 69120 Vaulx-en-Velin: 04 78 80 76 69 -
Orange souhaite s'installer au hameau du Chenal Dessous 73640 St Foy Tarentaise, la commune a accordé le permis de construire le 30 juin 2011, un recours des tiers qui va jusqu'au 30 août 2011
Nous avons déjà envoyé un courrier au maire de la commune (tous les habitants) pour lui demander un déplacement de cette antenne mais visiblement il n'en fera rien ! une autre association locale a elle aussi envoyé un courrier nous sommes en attente d'une réponse.
Déja la présence d'antennes SFR et Orange à 17 m de hauteur, Lieu dit le Franier GSM, FH accord 2/10/2004 et 12/06/2009 pour modif, antennes relais mises en cause dans le mal être des riverains et donnant directement sur la façade des habitations proche de 3 à 30 m
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SONT-T'ILS TROP PRIS ! PAS LE TEMPS DE S'OCCUPER DES CITOYENS
Petit rappel: il n'existe aucune réglementation pour obliger le Maire à accepter des implantations d'antennes relais, le préfet , le premier ministre ne sont pas supèrieurs aux Maires ,ils sont le patron dans leurs communes
Pendant ce temps les opérateurs multiplient tranquillement leurs implantations est bien sûr toujours en grande discrétion sans en informer les Riverains,qui se trouvent devant le fait accompli en voyant le panneau d'affichage (quand il est visible!!)
Grenoble est ville pilote pour le 0,6 V/m (Grenelle de l'environnement)
Monsieur le Maire Michel Destot est Président de l'AMGVF (Association des Maires des Grandes Villes de France) élu en septembre 2007 et réélu à l'unanimité en mai 2008.
Député depuis 1988, il est l'auteur de nombreux rapports parlementaires sur les questions d'environnement, de la politique énergétique et de l'innovation industrielle
chef d'entreprise d'une start-up de haute technologie devenue PME
Monsieur Le maire de Crolles et député de l'Isère François Brottes, est aussi président du COMOP (Comité Opérationnelle) pour les villes pilotes à 0,6 V/m
Le président de conseil syndical de l'immeuble s'est fait le commercial de FREE
Ce dernier a tout fait pour influencer le vote, prenant le soin de contacter chaque propriétaire par téléphone, appuyé ensuite par un porte à porte au discours dicté.Surprenant de sa part, lui qui manifeste beaucoup, beaucoup moins d'entrain à s'occuper de porte bloquée ou de problème d'infiltrations dont souffrent certains appartements.
A quelques mètre de là se trouve déjà un immeuble richement équipé d'antennes relais.Ce dernier domine outrageusement une école maternelle et se trouve aussi dans le périmètre d'une crèche.
On ne peu pas laisser dire que les antennes n'émettent pas à 61 V/m, et qu'il y a un doute c'est faux !!!
L’attitude du responsable communication chargé des antennes à la Mairie de Grenoble Monsieur GILDAS LAERON est plus que légère vu la gravité du sujet, selon lui la municipalité applique le principe de précaution aux bâtiments public
ET LES RIVERAINS ALORS C'EST QUOI ! ?
La preuve est faite il y a de nombreuses écoles à Grenoble ou ils existent des antennes relais proches, et se sont des bâtiments public !!
COMMENT SAIT-IL: que les antennes relais n émettent pas à 61 V/m? y a t'il des SONDES,? Comme en Espagne à LEGANES, oui les opérateurs augmentent à distance et à loisirs leurs émissions suivant l’affluence des appels.
Comment sait il que le faisceau des antennes ne touche pas l'école à proximité, sait il au moins que ces faisceaux sont montants et descendants ? Vers la rue !
Comment peut il dire qu'il y a un doute sur la dangerosité des micros ondes pulsées des antennes relais, pour nous et plus de 1500 scientifiques indépendants il n'y a aucun doute L'OMS vient de reconnaître la dangerosité
Maintenant que l'ont sait qu'il y a un constat d'établi par plus de 1000 visites cumulées de Roger Santini et Jean Rinaldi, ainsi que d'associations, qui recensent des causes et des effets dans les 400 m : pertes de mémoire,fatigue chronique, maux de tête, insomnies, troubles comportementaux, irascibilité, sifflements dans les oreilles, leucémies etc.......
Maintenant que L'OMS s'est discrédité avec le Médiator et 80 médicaments, et qui maintenant se rattrape,en reconnaissant la dangerosité du portable , faudra t-il attendre encore 13 ans pour la reconnaissance de celle des antennes relais qui utilise les mêmes micros pulsées.
Alors Monsieur avant de dire n'importe quoi aux mèdias renseignez vous bien sur ce sujet,et n'avancez pas des propos qui n'engage que vous, plus de 980 000 personnes en France sont convaincus qu'ont nous prend pour des billes.
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La gestion des bâtiments publics ou privés est-elle obligée de passer par l’irradiation des riverains par l’émission des champs électromagnétiques émanant des antennes relais de téléphonie mobile ?
Lorsque l’on n'est pas certain d’un risque, on doit appliquer le principe de précaution surtout à l'hôpital reconnu à ce jour aux antennes Relais
La santé et le bien-être des citoyens valent t-ils 3000-5000-8000-15000 ou 30000 € par an de la part des opérateurs?
A l'attention de Mesdames Messieurs, les responsables de l'association " Robin des toits" .
Je vous informe par la présente, qu'une décision a été prise ce vendredi 22 juillet, par le conseil municipal de Beauvoir de Marc 38.
Cette décision consiste a abandonner la technologie WIFI, au profit d'une couverture satellite pour desservir les zones non couvertes par la technologie filaire.
Le soutien actif de votre association auprès du collectif local ASTER , ainsi que celui de l'APIE et de Connection Verte a influencé notre décision...
L’interdiction du WIFI dans les écoles, au titre du principe de précaution.
Un rapport de la Commission de l’environnement du Conseil de l’Europe nous livre une information, non sans conséquences, pour le monde des Nouvelles Technologies dans l’Education qui préconise l’interdiction du WIFI dans les écoles, au titre du principe de précaution.
Nous n'avons pas compris l’attitude de la mairie qui semblait être de
notre côté
Nous nous élevons contre :La nuisance visuelle
Nous avons découvert le 30 mai 2011 avec surprise et indignation la mise en
place de deux poteaux supportant des
antennes WIFI ALSATIS sur notre
commune, aux lieux dits Le Fouilleux et
les Fromentaux. Nous avions pourtant
clairement exprimé notre refus de cette
solution, la mairie nous soutenait dans
nos recherches et malgré cela, une
convention avec ALSATIS a été signée le
24 mai 2011 par la mairie et la mise en place des antennes s’est faite aussitôt après, le 30 mai et 1er juin, sans que nous ayons été consultés ni avertis
d’aucun travaux d’installation; tout a été fait en catimini
La dépréciation immobilière
Les nuisances sanitaires: exposition des populations au rayonnement électro
magnétique permanent (nous sommes tous concernés)
Emplacement gênant pour la circulation en bordure de voie desservant
plusieurs habitations dont une ferme (on ne se croise plus à hauteur de ce
poteau) Non respect de l’alignement avec les infrastructures existantes de
distribution d’électricité et de téléphone
Non respect de la zone protégée d’un monument historique
Mise en place très proche des habitations (16 mètres)
Solution qui n’apporte aucune garantie technique de qualité d’utilisation et
Ville touristique célèbre pour sondèpard du chemin de compostelle.
Cliquez sur les images pour agrandir
Avant le départ, n'oubliez pas de passer sous les antennes relais Faites vous irradier pour avoir le bon pied Orange sanguine vous donnera des vitamines et bientôt SFR une santé de fer
L'assemblée générale de copropriétés à voté oui à la future implantation d'antennes SFR
d'après notre vision des choses ce vote a été entaché d'irrégularités ,des antennes relais orange existent déjà sur ce toit et polluent à 30 m des riverains avec 6 V/m ,nous ne laisserons pas faire !
Les habitants environnants ont tous signés une pétition forte de 300 signatures, contre cette nouvelle implantation.
Le Collectif contre les antennes relais de las Cobas s'oppose à la solution privilégiée par la Mairie d'intégrer une des antennes dans 2 fausses cheminées sans baisser leur puissance et d'installer un pylône de 25 mètres de haut à proximité du rond-point du Clos‑Banet pour les deux autres opérateurs + le nouveau arrivé "Free". Visite au conseil municipal de Perpignan le 01 Juillet 2011.
25 antennes de téléphonie mobile sur le château d'eau au cœur du village. Les riverains irradiés 24h/24 par des champs de 1,5 à plus de 5V/m. Qui laisse installer les antennes ? Mairie et Agglomération se renvoient la balle et sont aux abonnés absents. Jacqueline Irles, députée-maire, organise des conférences avec René de Sèze ou André Aurengo pour faire taire les voix qui s'élèvent. En vain ! Manque de crédibilité des experts. "Un Mât Pour Les Ondes" continue son combat pour la préservation de la santé des Villeneuvois et propose des solutions.
cancers d'enfants près de perpignan,25 antennes sur le château d'eau
Madame le Maire ne voit aucun problème ! les causes et les effets ne
doivent pas faire débats polèmique
IL FAUT ENLEVER CES ANTENNES DE SUITE ,car oui il y des causes et des
effets sur 360 visites en Rhône alpes je dis oui,au nom du principe de prècaution
Une petite fille Romane âgée de 2 ans et demi est en rémission d’un cancer très agressif (Rhabdomyosarcome de type alvéolaire) contracté à l’âge de 9 mois. Elle a un suivi intensif auprès des services oncologiques d'hôpitaux , ce qui a entrainé un arrêt de travail de plus d’un an de son papa afin qu’il puisse s’occuper d’elle à temps plein.
En septembre dernier, les parents ont quitté un appartement pour emménager dans une maison afin que Romane puisse bénéficier de plus d’espace, du petit jardin et d’un univers comportant le moins de nuisances pouvant altérer sa fragile santé.Ils ont alors commencé à reprendre gout à la vie dans cette nouvelle maison, récompense d’un combat mené depuis 2 ans.
Et voilà qu’il y a quelques jours, ils ont assistés à l’installation d’une antenne relais par l’opérateur Orange, dans le jardin de leur voisin, à 40 mètres .
Connaissant les méfaits des antennes relais sur la santé, nous ne pouvons accepter aujourd’hui l’installation de celle-ci, sachant que la petite Romane reste particulièrement vulnérable aux effets des ondes émises par ce type d’antenne relais et qu’une récidive due aux effets nocifs de celle-ci apparait désormais tout à fait probable.
La présence de cette enfant à proximité de ce type de nuisance fait courir un risque de dommages graves et irréversibles à sa santé déjà particulièrement fragilisée.
Cette antenne est située chez un particulier,
cette affaire est « honteuse et inadmissible à médiatiser d’urgence », auprès de toutes et de tous
Monaco 4 V/m, Leganes Espagne 0.6V/m avec des sondes de contrôles permanents
Ceci est une bonne avancée mais encore en attente de signature par les opérateurs, et il n'est pas spécifié de taux à 0. 6 V/m, les mesures aussi faible que possible pour les établissements sensibles,sur 61 V/m, nous devons nous en poser la question COMBIEN ,
De nombreuses chartes ,d’arrêtés ont été élaborées par des communes mais toutes n'ont rien données, OULLINS CHASSIEUX ECULLY etc cette accord est fait pour que la commune justifie l’implantation d'antennes sur des bâtiments public
Madame, Monsieur le Maire,Mesdames et Messieurs
les Conseillers municipaux,
La gestion des bâtiments publics est-elle obligée de passer par l’irradiation des riverains par l’émission des champs électromagnétiques émanant des antennes relais de téléphonie mobile.
La santé et le bien-être des citoyens valent t-ils 3000-5000-8000-15000 ou 30000 € par an de la part des opérateurs?
lorsque l’on n'est pas certain d’un risque, on doit appliquer le principe de précaution reconnu à ce jour aux antennes Relais
En ESPAGNE la ville de LEGANES vote et applique le 0,6 v/m
Avec la mise en place d'un réseaux de sondes en continue, sur un simple coup de fil n'importe qui! Peut connaître en temps réel le taux d'émissions chez lui.
Les titulaires de sites de Stations de Bases sont tenus,de prendre toutes les dispositions appropriées pour que la réalité du champ électromagnétique soit techniquement le plus bas possible afin que soit réalisable et atteint la réduction réglementaire applicable à la fin de 2012,
qui devra être une moyenne réelle de champs électromagnétiques au seuil fixé à : 0,6 V/m.
Le Liechtenstein est une petite principauté indépendante, circonscrite au nord par la Suisse (à l'ouest) et l'Autriche (à l'est), au sud et à l'ouest par la Suisse (voir la carte détaillée). C'est l'un des plus petits États du monde avec une superficie de seulement 157 km², à la frontière helvético-autrichienne, soit 200 fois plus petit que la Belgique (32 545 km²).
Le Liechtenstein est une monarchie constitutionnelle gouvernée par des princes héréditaires. Selon la Constitution de 1921 (toujours en vigueur), le pouvoir législatif est exercé par la Diète (le Landtag) qui comte 25 représentants élus pour quatre ans au suffrage universel.
Depuis 1919, c’est la Suisse qui assure la représentation diplomatique du Liechtenstein à l’étranger et qui lui fournit sa monnaie (le franc suisse). Un trait distinctif : petit État sans ressources naturelles, le Liechtenstein est pourtant l'un des pays les plus riches du monde par le revenu annuel de ses habitants, dépassant même celui de la Suisse.
C'est fait ce matin très tôt le 1 mars 2011, la grue à
montée le matériel SFR ,en toute rapidité sur le toit de la salle
Rameaux eh! oui vue la sensibilité du quartier ,il valait
mieux faire cela pendant les vacances pour être sûr de ne
pas rencontrer d'obstacles. Les Maires d'arrondissements
n'ont pas les moyens de s'opposer, à l'autorité de la
Mairie centrale.
La gestion des bâtiments publics ,
est-elle obligée de passer par l’irradiation des riverains par l’émission des champs électromagnétiques émanant des antennes relais de téléphonie mobile.
La santé et le bien-être des citoyens valent t-ils 3000-5000-
8000-15000 ou 30000 € par an de la part des opérateurs?
lorsque l’on n'est pas certain d’un risque, on doit appliquer le
principe de précaution reconnu à ce jour aux antennes Relais .
Cette application permet de remplacer le Baby-phone déjà déconseillé, par le Ministère de la Santé, mais offre en plus l’occasion de distraire nos bambins avec des berceuses et des histoires.
Le dispositif se déclenche au moindre cri du bébé et vous permet d’entendre tout ce qui se passe dans la pièce, sur votre propre téléphone mobile.
Avec 5 berceuses intégrées cela permet de surveiller bébé et de vous prévenir via un coup de téléphone si il se met à pleurer.
Dans le cadre de l’instruction du dossier concernant les nouveaux Compteurs Mouchards Linky (CML), il y a un aspect fondamental qui est l’installation par ERDF de plus de 180 000 nouvelles antennes relais ou RH pour la transmission par GPRS sur le réseau PMR des données collectées et regroupée par CPL aux postes de transformations des quartiers. On saura tout de vous vous, combien de lessive, quel appareils vous utilisez le plus ,à quel heure , de plus l'obligation du système par courant porteur en ligne sera passé par tous les fils électrique de la maison,donc on pourra même savoir dans quel pièce vous vous trouvez et quand vous fermez la lumière
Avec les nouveaux compteurs mouchards (Linky pour la France) la population va être soumise à une expérimentation à l'échelle mondiale qui va jouer un rôle majeur non seulement dans le contrôle, mais aussi dans le devenir de l'humanité.
Tout le maillage de distribution d'électricité BT et le courant vont être modifiés (CPL) afin de les transformer en système de communication, en association avec du GPRS (Téléphonie Mobile 2,5G), c'est une nouvelle source d'immixtion de rayonnements artificiels, c'est une nouvelle pollution environnementale totale.
Il est impérieux et légitime de faire connaître avec précisions et d'expliquer aux citoyens afin qu'ils puissent comprendre toutes les finalités de la réalité et celles des dérives possibles, pour une prise de conscience salutaire.
Ensuite la deuxième étape est la transmission des données personnelles collectées de l’utilisateur au système central du gestionnaire des données, c'est-à-dire à la société commerciale de distribution, se réalise en téléphonie Mobile de type GPRS (General Packet Radio System), appelé aussi 2,5G. Les Hautes Fréquences artificielles micro-ondes porteuses utilisées sont exactement les mêmes que celles de la Téléphonie Mobile bi-bandes 900 MHz et 1800 MHz.
Ensuite les flux des captures des données personnelles des utilisateurs sont supervisés, analysés et traités de "manière informatique" par une agence centrale de supervision (aussi appelée "control room"),Paris, le 10 Mai 2011
A l'attention de Madame Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET Ministre Ministère de l'Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement
Copie à : • Monsieur Eric BESSON, Ministre de l’Industrie, de l’Energie et de l’Economie numérique • Monsieur Xavier BERTRAND, Ministre du Travail, de l’Emploi et de la Santé • Madame Michèle BELLON, Présidente du Directoire d’ERDF, • Monsieur Henri PROGLIO, Président Directeur Général d’EDF, • Madame Caroline KELLER, Chargée des questions énergétiques à l’UFC-Que Choisir Madame la Ministre, Monsieur le Ministre, Madame la Présidente, Monsieur le Président Directeur Général,
L'association nationale Robin des Toits s'unit à la lutte contre le changement climatique et encourage toute disposition visant à protéger les personnes, la vie et l'environnement.
En ceci, l'utilisation d'un compteur communicant est vertueuse : elle permet de repérer les pointes de consommation et de commander un délestage de tout ou partie du réseau de façon rationnelle, et non plus par des estimations de grande échelle obligeant de plonger dans le « black-out » un quartier entier d'une ville, comme ce qui est pratiqué encore aujourd'hui en cas de panne majeure.
Pour la première fois, nous pourrions véritablement connaître et maîtriser la quantité d'électricité qui est acheminée et consommée sur les réseaux, anticiper de façon extrêmement minutieuse tout problème, et maîtriser nos dépenses énergétiques (délestage du chauffage électrique des particuliers en heure de pointe), ce qui est la pierre angulaire qui doit nous permettre de diminuer notre consommation d'électricité.
Cependant, en ce qui concerne la technologie permettant la communication du compteur, et que ce soit pour le comptage d’électricité, de gaz, ou bien de l’eau, nous sommes en total désaccord avec la solution actuelle qui consiste à utiliser un module radiofréquence (RFID, GPRS, GSM, Wifi …) ou CPL, incorporé dans le compteur.
En effet, la technologie radiofréquence/CPL ne nous semble pas appropriée, pour des raisons techniques et de santé publique que nous détaillons ci-dessous.
Les raisons techniques :
Lorsque le réseau subit trop d'engorgement, en cas d'accident sur une ligne électrique qui risque de conduire au « black-out » d'une zone par exemple, le nombre de données à envoyer est très important. Le temps de traitement, avec les solutions à radiofréquences, est donc de plusieurs minutes, ce qui annule les bénéfices dont a absolument besoin le réseau électrique pour sa stabilité - réactivité exigée de l'ordre de quelques secondes. A quoi bon changer de compteur pour une solution qui, ne permettant pas un délestage fin du réseau, est par essence contraire à l’esprit de la nouvelle loi RT2012, régissant l’énergie dans les bâtiments ?
De plus, les technologies de communication par radiofréquences ne sont pas infaillibles, et s'il faut doubler le message ou l'accompagner d'un retour pour vérification, c'est le trafic, donc la nuisance, qui devra être doublée voire triplée. Elles sont de plus susceptibles d’être facilement piratées.
Une solution simple, économique, toute trouvée et en phase avec les exigences environnementales les plus pointues, serait de passer par le réseau téléphonique classique existant, surtout dès lors qu’il utilise la fibre optique particulièrement sûre et puissante, ce qui aurait un nombre incomparable de vertus.
En effet Passer par le réseau téléphonique classique permet :
- Une grande rapidité de la transmission des informations et de leur vérification, le réseau équipé pour l’Internet filaire très haut débit étant fréquemment en fibre optique - contre le passage de l'engorgement du réseau GSM. - La fiabilité de la réponse : le réseau téléphonique est alimenté indépendamment du réseau électrique, donc le compteur communicant est garanti de fonctionner correctement même en cas de « black-out ». - Une économie d'énergie : le module GSM prélève son alimentation sur le réseau électrique, et disperse l'énergie du signal dans l'espace. Un module téléphonique classique, quant à lui, n'envoie qu'une petite impulsion instantanée sur le réseau téléphonique, qui de plus est auto-alimenté. Ne dispersant pas d'énergie dans l'espace, il est, par principe, plus économe. - D'éviter des problèmes de compatibilité électromagnétique : beaucoup d'appareils domestiques et professionnels sont sensibles aux ondes de la téléphonie mobile (appareils médicaux) et leur interférence peut résulter en un dysfonctionnement critique et imprévisible. - Une meilleure protection contre le piratage de données.
Avantages supplémentaires du point de vue du réseau :
- Économie matérielle : la plupart des modules communicants par Internet filaire (réseau téléphonique filaire) ont une entrée impulsion permettant d’équiper tous les anciens compteurs sans les changer. - Économie d'infrastructure : pas besoin d'implanter d'antennes. Économie d'énergie : ces antennes non installées n'auront pas besoin d'être alimentées.
Du point de vue des économies financières :
Pourquoi se passer d'exploiter le réseau téléphonique fixe, qui est le réseau le plus fiable, qui a été amorti depuis longtemps, et qui est le plus équitablement réparti sur tout le territoire français?
Les raisons de santé publique :Nous dénonçons un contrecoup de l'utilisation de la technologie GSM :
Si tous les compteurs doivent devenir communicants, et si toute la communication s'effectuait en mode GSM, alors nous parlons de mettre en circulation plus de 50 millions de puces GSM, soit pratiquement un doublement de la quantité de puces en service.
Or, le réseau alloué au public est déjà saturé par la 3G. Placer des compteurs Linky dans 30 millions de foyers français plus les quelques dizaines de milliers de sites industriels exigera de quasiment doubler la couverture.
Pourrons-nous inexorablement continuer de doubler les quantités d'antennes téléphoniques sur les toits?
Nous dénonçons deux atteintes à la santé publique :
- L’une causée par la présence du compteur Linky dans les domiciles, ses émissions d'ondes permanentes ainsi que la pollution induite du réseau électrique domestique entier qui va immanquablement faire antenne et porter la trace des ondes que le compteur Linky émet et reçoit. - L’autre causée par l'augmentation inévitable du nombre d’émetteurs/récepteurs-relais.
De plus en plus de gens dans le monde entier se révèlent sensibles à des niveaux d'ondes supérieurs à 0,6V/m pour des gammes d'ondes correspondant à celles de la téléphonie mobiles (300MHz à 2GHz et plus), mais également pour des ondes correspondant à la radio et à la télévision classiques (30 à 300MHz).
Ces personnes, souffrant d'Electrohypersensibilité (EHS), sont entre autres dans l'impossibilité de prendre les transports en commun du fait de l'omniprésence des téléphones portables et du WiFi, et ont de grandes difficultés socioprofessionnelles du fait de ce lourd handicap. L'augmentation de l'exposition du public aux micro-ondes contribue largement à l'expansion de ce type de handicap (300 000 personnes reconnues EHS en Suède sur une population de 9 millions d'habitants).
Installer de force un tel compteur chez ces personnes et leurs voisins n'aura qu'une conséquence : les chasser de leur domicile, car ils sont incapables de supporter le rayonnement permanent d'un module GSM, radiofréquence ou CPL sous tension, fût-ce au travers d'un mur.
Installer de force un tel compteur dans des millions de foyers n'aura qu'une conséquence : augmenter le nombre de victimes de troubles liés aux micro-ondes, dont l'électrosensibilité.
Les ondes de la téléphonie mobile accroissent également la prévalence de nouvelles maladies environnementales méconnues, citons entre autres les maladies suivantes : chimicomultisensibilité (MCS), fibromyalgie, dépression, troubles du sommeil, migraines, maladies neurodégénératives, jambes sans repos, scléroses en plaque, dermatoses, troubles visuels de type persistances rétiniennes accrues, plus l'aggravation de maladies génétiques rares du type maladies du sommeil.
Elles sont suspectées d'être à l'origine de dégradations irréversibles de la barrière hémato encéphalique, qui conduit à la perte de liquide cérébral par le sang, et à un processus de vieillissement accéléré et destruction de neurones, entraînant notamment des changements de personnalité - anxiété, dépression, violence, trouble de la concentration, aphasie amnésique (difficulté à trouver ses mots), irritabilité, faiblesse physique, fatigue chronique, etc...
Il est à noter qu'en 2010, on recensait en France 6 millions de dépressifs, dont le nombre croît suivant l'augmentation de la pollution par l'électrosmog (pollution causée par les champs électromagnétiques, dont font partie les ondes de type téléphonie mobile au même titre que les champs électriques issus de n'importe quel fil conducteur d'électricité).
10 années de recul sur l'utilisation de masse de la téléphonie mobile nous permettent d'ores et déjà de nous prononcer contre la prolifération de l'utilisation incontrôlée des technologies micro-ondes, car leurs effets fragilisants sur la santé publique sont en train d'être révélés au grand jour. Il convient de réduire l'exposition du public et non de continuer à créer des réseaux suréquipés qui n'ont pas lieu d'être, puisqu'ils ont déjà un concurrent rentable, universel, amorti, et ne présentant aucun problème sanitaire : le téléphone filaire.
Il relève de la plus haute urgence sanitaire de réduire drastiquement l’exposition du grand public. La proposition de loi déposée en 2005 par Mme la députée Nathalie Kosciusko-Morizet, défendant notre position au 0,6V/m comme Valeur Limite d’Exposition (VLE), ne rendrait-elle pas notre Ministre plus réceptive à nos arguments ?
Nous avons l'impression que - sous couvert de maîtrise de l'énergie - nous nous voyons imposer des solutions non seulement inadaptées mais qui mettent en oeuvre des technologies dont les promoteurs industriels sont les plus agressifs, alors que des technologies fiables et déjà rentabilisées sont d'ores et déjà disponibles. La façon dont cette technologie est imposée à marche forcée renforce d'autant plus ce sentiment.
Les compteurs communicants par fréquences radio et CPL dont le compteur Linky, à cet égard, revêtent donc de désagréables allures de miroir aux alouettes que nous nous empressons, par la présente, de dénoncer.
Une fois de plus, comme pour les ampoules basse consommation, nous avons la sensation d'être victimes d'une économie de braquage prenant en otage des arguments écologiques pour faire accepter au grand public des dépenses inutiles, le gâchis d'énergie, et pis, l'investissement dans des technologies dont la recherche et les lanceurs d'alertes dénoncent l'immédiate et absolue nocivité.
Nous dénonçons l’aveuglement incompréhensible envers le coût économique de l’hécatombe sanitaire imminente dont au moins quelque 3% de la population porte déjà d’inquiétants stigmates, et ce d’autant plus que des solutions économiques, pérennes et fiables et sans incidence sur la santé des citoyens existent depuis longtemps sur le marché.
Demandez-vous si vous servez les intérêts du public, ou les intérêts des vendeurs de matériel téléphonique, mercantiles et de très court terme, qui vont vous obliger à promouvoir, faire acheter et installer un matériel, quitte à ce que personne ne puisse s'en servir par la suite.
Emilie Paniagua Ingénieur Génie Physique Optoélectronique et énergies
L’âge d’or de la téléphonie mobile, telle que nous la connaissons aujourd’hui risque-t-elle de disparaître. N'assistons-nous pas au début de la concrétisation d'une mutation d'un relationnel de masse entre le spatial et les télécommunications?. Depuis quelques années les programmes spatiaux ont fait l’objet d’intenses activités, les applications grand public des télécommunications et du multimédia sont déjà opérationnelles au grand dam des opérateurs du tout terrestre. Certains fonds de commerce ne vont-ils pas voler en éclats !
Totalement dépassés par les évolutions technologiques, les "standards" actuels des liaisons sans fil à relais terrestres ne suivent-ils pas le même chemin que l’avènement des chaînes TV satellites, qui sont par essence même incontrôlables. Des analystes prédisent même la téléphonie mobile gratuite. Des programmes par satellites, exemples, SDMB (Satellite Digital Mobile Broadcasting) de télévision sur terminaux mobiles, ou Athéna (Internet haut débit) sont en cours de concrétisation. A quelques variantes près il est possible d'envisager un scénario plausible : De facto, tous les systèmes mis savamment en place par les gouvernements pour assurer une régulation ou un contrôle économico-politique des télécoms mobiles vont « naturellement » disparaître. Cette évolution sera-t-elle aussi le départ d’une prise de conscience des erreurs du passé concernant l’irradiation massive de certaines catégories de populations proches de sites d'antennes relais terrestres ? Le corollaire direct à terme étant : l’analyse et la responsabilisation. Rien à attendre non plus du côté de ceux qui ont mis en place le système actuel terrestre car tout a été fait d’une façon très intelligente, les stés de télécoms ne seront pas responsables car couvertes pas la loi, et en plus . . . n'étant pas assurés en responsabilité civile (de masse) d’entreprise comme la législation leur en fait obligation, se seront en définitive les états, donc les contribuables qui devront faire face aux éventuelles conséquences des errements sanitaires des responsables nommés par les politiques. Et pour finir, comme d'habitude les responsables naturellement désignés seront certainement des lampistes, et en l’occurrence on peut imaginer . . . ceux qui ont apporté leurs cautions scientifiques aux autorités sanitaires.
Pour faire cesser toutes rumeurs nous vous informons que :
CCARRA est une Association sans but lucratif composée de bénévoles.
CCARRA (Coordination Citoyenne Antennes Relais Rhône Alpes) est une association à part entière régie par la loi 1901.
Elle n’a pas d’appartenance politique,
Elle ne perçoit aucune subvention, afin de garder son indépendance et sa liberté de parole.
C’est une association qui défend les intérêts des personnes ou des collectifs qui le demandent .
Elle n’est ni complémentaire, ni associée, ni annexée, ni concurrente, ni adversaire d’aucune autre association intéressée aux problèmes d’environnement ou de santé .
Par contre solidaire des 55 coordinations de France.
Il est rappelé que son objectif n’est pas la disparition de la téléphonie mobile. Il est d’obtenir que son fonctionnement soit soumis à des obligations réglementaires qui la rendent compatible avec la Santé Publique.
(antennes-relais miniatures) installées à domicile dans votre box, recevant par votre réseau filaire ou par ondes pulsées et éventuellement émettant par ondes pulsées) pose de nombreux problèmes. les opérateurs, piégés à la fois par la résistance des associationsaux implantations de stations et par la saturation des circuits de la téléphonie mobile, réussissent aujourd’hui le tour de force de transformer votre box internet en station réceptrice-émettrice des ondes aux fréquences de la téléphonie mobile !
SFR ET FREE ENSEMBLE
Pour La Femtocell qui est un service rendu à l’opérateur par
l’abonné, qui devrait alors recevoir rémunération contractuelle pour
ce service et les frais engendrés.
Au contraire,c’est l’abonné qui paie abonnement et énergie !
Sans faire de procès d’intention, il est peu probable que les opérateurs, ayant trouvé comment accroître leurs réseaux sur le dos du consommateur sans débourser un kopek, se limitent à 15 ou 200 m. de portée : ça rapporte et il n’y a pas d’investissement pour eux.
De plus en plus de médecin sont ou deviennent des commerciaux avant tout, sachant qu'un généraliste gagne entre 3000 € et 7000 € mensuel, un spécialiste lui c'est plus de 6500 €,en général il servent aussi les intérêts de l'industrie des laboratoires, avec de nouveaux médicaments, et participe au trou de la sécu, un exemple parmi des dizaines L’hépatite B etc, le vaccin contre le cancer du col de l'utérus le GARDASIL, son efficacité n'est pas prouvé, la prescription de ce vaccin coute:120 €x3= 360 euros